La fille d’Albino Rodrigue

  • Nationalité : française
  • Année de production : 2021
  • Casting : Emilie Dequenne, Galatéa Bellugi, Philippe Duquesne, Samir Guesmi et Catherine Salée
  • Réalisateur : Christine Dory
  • Scénaristes : Christine Dory, Lise Macheboeuf
  • Production : Zadig Films
  • Distribution : ARP Sélection

  • Synopsis :

    Rosemay qui vit en famille d’accueil se rend pour les vacances au domicile de ses parents. Elle ne reverra jamais son père mystérieusement disparu le jour de son arrivée. Elle n’obtient de sa mère que des réponses qui la font de plus en plus douter sur ce qui s’est réellement passé. Elle pense qu’il est mort, et part à la recherche de la vérité sur cette inquiétante disparition.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • Scènes tournées à proximité de Metz (Moselle) et de Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Scènes à Rosselange et à Val de Briey (Moselle)
Mais la maison, particulièrement bien entretenue et maintenue dans son atmosphère des années 1970-1980 coche toutes les cases. Photo Maury GOLINI
En tout, une quarantaine de professionnels du 7e Art a investi Rosselange cette semaine. Photo Maury GOLINI12 /18
Mais la maison, particulièrement bien entretenue et maintenue dans son atmosphère des années 1970-1980 coche toutes les cases. Photo Maury GOLINI

 

« La Mort d’Albino Rodrigue , c’est l’histoire d’une jeune fille de 16 ans ( Gallatea Bellugi ) qui vit toute l’année chez sa famille d’accueil et qui rejoint pour les vacances sa famille biologique. Sauf que le père ( Philippe Duquesne, ex-Deschiens ) a mystérieusement disparu et que la mère (Émilie Dequenne) se contredit dans ses réponses…

Paradoxalement, le tribunal judiciaire ne va pas servir de… tribunal. Selon quelques indiscrétions, une partie des locaux vont être transformés en commissariat ! Ou lorsque de vrais policiers seront susceptibles de croiser des acteurs ou figurants en uniforme…

Car il faut savoir que la juridiction continuera de tourner (sans faire de jeu de mots). Ce qui veut dire que les acteurs de la vie judiciaire (les robes noires, le personnel administratif mais aussi… les justiciables) devront cohabiter avec l’équipe du film. Même si les étages, où auront lieu les prises, sont en principe interdits au public. Surtout depuis la mise en place des protocoles sanitaires que techniciens, maquilleurs, costumiers et héros du film devront scrupuleusement respecter. » Républicain Lorrain, mai 2021