Le torrent

  • Nationalité : française
  • Année de production : 2020
  • Casting : José Garcia, André Dussolier
  • Réalisateur : Anne Le Ny
  • Scénaristes : Anne Le Ny
  • Production : Move Movie
  • Distribution : SND

  • Synopsis :

    Lors d’une violente dispute de couple entre Alexandre et sa femme Juliette, celle-ci fait une chute accidentelle dans un ravin et est tuée sur le coup. Un violent orage pendant la nuit qui suit l’accident provoque une coulée de boue qui recouvre le corps sans vie de Juliette. Alexandre pense se rendre à la police pour expliquer le caractère accidentel de la mort de Juliette. Sa fille Lison décide de l’aider à prouver son innocence aux policiers. L’événement est pour elle l’occasion de se rapprocher de son père qui s’était depuis toujours montré distant.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • tournage dans les Vosges
  • scènes tournées à Gérardmer : angle de la rue Lucienne et Charles de Gaulle, place des Déportés, bord du lac
  • scènes tournées à la Bresse, au Valtin, à Epinal et sur la route des Crêtes (Vosges)

José Garcia et André Dussollier endossent les rôles principaux dans « Le torrent », le nouveau film de la réalisatrice Anne Le Ny. Le long-métrage est produit par la société Move Movie. Les premiers noms de l’affiche laissent augurer une fiction à succès : les rôles principaux ont été confiés à José Garcia et André Dussollier.

 

Après À fond, Garcia et Dussolier se retrouve sur le tournage du Torrent, joué dans les Vosges. Crédits Wild Bunch Distribution

 

Les équipes ont filmé des scènes dans des lieux situés dans le cœur de Gérardmer. Des scènes se déroulent également à l’intérieur et à l’extérieur d’une maison située sur les hauteurs de Gérardmer mais aussi dans une entreprise gérômoise et au bord du lac.

Le tournage a investi d’autres lieux vosgiens :  La Bresse, Le Valtin, Epinal, la route des Crêtes.

La réalisatrice Anne Le Ny entourée de ses deux actrices Capucine Valmary (à gauche) et Meimona Soumaré. Crédits Est Républicain
Clap de début : le tournage s’est déroulé sur les mois de novembre et décembre 2020. Crédits Est Républicain
Le patron de l’auto-école, Nicolas Claudel a joué son propre rôle de moniteur. Crédits Est Républicain

 

Plus de photos dans cet article de Vosges Matin

Un froid polaire

  • Nationalité : Française
  • Année de production : 2021
  • Casting : Adrien Lecouturier, Lucie Guien, Angélique Flaugère
  • Réalisateur : Adrien Lecouturier, Lucie Guien, Angélique Flaugère
  • Scénaristes : Adrien Lecouturier, Lucie Guien, Angélique Flaugère
  • Production : LFP Production

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes tournées à Pagney-derrière-Barine (Meurthe-et-Moselle) : rue Suzanne-Kricq, pub rock Chez Paulette
  • scènes tournées à Ecrouves (Meurthe-et-Moselle)
« Un froid polaire » est en prétournage dans une maison au décor cosy de la rue Suzanne-Kricq. Photo ER /Stéphanie MANSUY

 

« Un film repart dans les pas de la résistante Suzanne Kricq »

Ce film tire son inspiration d’une maison du village, sur fond de devoir de mémoire, tout en faisant référence à l’ancienne résistante Suzanne Kricq.

Adrien Lecouturier et Lucie Guien jouent à la fois la comédie et réalisent ce long-métrage. Ils donnent la réplique à la comédienne  Angélique Flaugère. Des villageois sont également figurants et les scènes se jouent à différents endroits : sur le plateau d’Ecrouves, au pub rock Chez Paulette… et principalement dans cette maison.

Le décor principal du film est une habitation de famille qui a vu naître Gérard Jacquot, le grand-père d’Adrien Lecouturier.  Lucie Guien est, elle, originaire de Marseille et vit à Bruxelles. Angélique Flaugère vient de Toulon. Les deux jeunes femmes ont suivi la même école de cinéma : l’ INSAS à Bruxelles.

Prétournage du film «Un froid polaire» à Pagney-derrière-Barine avec Adrien Lecouturier, Angélique Flaugère et Lucie Guien. Photo ER /Stephanie MANSUY
Angélique Flaugère incarne le rôle d’une policière dans le film. Photo ER /Stéphanie MANSUY

 

Le long-métrage retrace l’histoire d’un jeune couple qui, de nos jours, s’installe dans une maison de village chargé d’Histoire et qui va les questionner. Vêtu du costume militaire de son grand-père et armé d’un fusil, Adrien Lecouturier partira errer sur le plateau d’Ecrouves ; tandis que les deux femmes, passionnées par Suzanne Kricq , enquêteront sur sa vie pour écrire une thèse. « Pour Lucie, l’identification à Suzanne sera très forte », lâche le réalisateur, « tandis qu’Angélique incarne une policière témoin de cela. » Les pièces de la maison, mais aussi l’improvisation, ont leur rôle à jouer dans ce long-métrage qui s’écrit au fil des scènes, des plans séquence de cinq minutes. Une fiction qui se veut « artisanale », sans grosse équipe, ni grand moyen. Viendra ensuite l’appel aux aides financières pour voir aboutir « Un froid polaire ». Est Républicain

Prétournage du film «Un froid polaire» à Pagney-derrière-Barine avec Adrien Lecouturier, Angélique Flaugère et Lucie Guien. Photo ER /DR
Prétournage du film «Un froid polaire» à Pagney-derrière-Barine avec Adrien Lecouturier, Angélique Flaugère et Lucie Guien. Photo ER /Stephanie MANSUY
Prétournage du film «Un froid polaire» à Pagney-derrière-Barine avec Adrien Lecouturier, Angélique Flaugère et Lucie Guien. Photo ER /Stephanie MANSUY