L’Age des possibles

  • Nationalité : française
  • Année de production : 1996
  • Casting : Anne Caillere, Isabelle Olive, Sandrine Attard
  • Réalisateur : Pascale Ferran
  • Scénaristes : Anne-Louise Trividic, Robert Guédiguian
  • Production : Agat Films & Cie / Ex Nihilo
  • Distribution : Diaphana Films

  • Synopsis :

    De vrais amis, de vagues connaissances, des amoureux, des amants. Dix jeunes gens à Strasbourg aujourd’hui. Étudiants, chômeurs, salariés, ils sont à l’heure des choix où débute ce qu’ils seraient bien en peine de nommer leur “vraie vie”. Pour ces dix jeunes gens, voici le caractère présent de l’existence.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • Le film a été entièrement tourné à Strasbourg

« La réalisatrice de « Petits Arrangements avec les morts » a été chargée par le Théâtre national de Strasbourg de réaliser un film avec dix élèves-comédiens de l’école du TNS. Inspirée de ses souvenirs personnels mais également de la vie des comédiens, ce film traite de cette période critique de l’existence, a l’heure des choix amoureux et professionnels. Une comédie dépressive, selon les propres termes de Pascale Ferran, ou la possibilité pour ces jeunes d’exprimer que vingt ans n’est pas toujours le plus bel âge. » (Source : Allociné)

Capture du film.
Capture du film.

« Un film singulier né à la façon d’un casting à l’envers, à la suite d’une commande passée par le directeur de l’École du Théâtre national de Strasbourg (TNS) à la cinéaste, ce au moment où elle venait de remporter avec son premier long métrage (Petits arrangements…) la Caméra d’or au Festival de Cannes en 1994. Le cahier des charges était à la fois simple et contraignant: très peu d’argent, un temps de tournage bref et l’idée de donner des rôles à peu près équivalents aux dix comédiens du Groupe 28 en leur fin d’études (Anne Cantineau, Christèle Tual, Anne Caillère, Isabelle Olive, Sandrine Attard, Antoine Mathieu, Nicolas Pirson, Arnaud Simon, David Gouhier et Jérémie Oler). Un travail interne à l’école qui, initialement, n’était pas conçu pour sortir en salles. » (Source : Libération Mathilde LA BARDONNIE )