Mon chat et moi. La grande aventure de Rroû

  • Nationalité : française
  • Année de production : 2022
  • Casting : Capucine Sainson-Fabresse et Corinne Masiero
  • Réalisateur : Guillaume Maidatchevsky
  • Scénaristes : Guillaume Maidatchevsky
  • Production : MC4 production
  • Distribution : Orange Studio

  • Synopsis :

    Rroû est un chaton vif et curieux qui découvre la vie sur les toits de Paris. Son destin bascule lorsque Clémence, dix-ans, l’adopte et l’emmène dans sa maison de campagne au cœur des montagnes. Débute alors une extraordinaire aventure pour Clémence et Rroû, qui vont grandir ensemble, croiser la route de la mystérieuse Madeleine et vivre une merveilleuse histoire qui va les transformer à tout jamais.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes tournées à  Plainfaing et La Bresse (Vosges)
  • scènes tournées à Nancy (Meurthe-et-Moselle)
« Mon chat et moi, la grande aventure de Rroû » a été réalisé sur 3 saisons entre juillet 2021 et février 2022. La majorité du tournage Grand Est s’est déroulé dans les Vosges, dans les alentours de Plainfaing et La Bresse, mais mais également à Nancy pour plusieurs intérieurs.
 
Plusieurs professionnels du Grand Est ont participé à ce projet, et notamment, dans les seconds rôles de la mère et du père de Clémence, la comédienne Lucie Laurent et le comédien Nicolas Casar-UmbdenstocK.
 
Au casting, nous retrouvons également Corinne Masiero, habituée du Grand Est avec la collection « Capitaine Marleau » ou encore l’unitaire TV « Boomerang ».
 
Photo de tournage. Crédits Vosges Mag

 

Porté par MC4 production et réalisé par Guillaume Maidatchevsky, « Rrou », libre adaptation du roman éponyme de Maurice Genevoix, a pour héros, un jeune chat attiré par la nature et curieux de découvrir un monde nouveau, peuplé de bêtes étranges tels que Lynx ou écureuils.

Photo de tournage. Crédits Vosges Mag

 

Pour accompagner ces animaux et faire le lien avec les acteurs et les équipes techniques  dont une partie a été recrutée  dans les Vosges, le réalisateur a choisi de s’appuyer sur « Animal Contact », une société spécialisée dans le travail des animaux sur les plateaux de cinéma. Au générique de ce film, figure également Corinne Masiero, déjà venue dans les Vosges lors du tournage d’un épisode de la série télévisée à succès « Capitaine Marleau ».


Destiné à un public familial, ce long métrage financé par le Conseil départemental et la région Grand Est devrait également offrir une belle vitrine à la beauté des paysages et à la nature vosgienne préservée. © Raphaël Bailly, ©Olivier Toussaint  et ©Raoul-Gilibert-Rrou

Vosges Mag

Photo de tournage. Crédits Vosges Mag

 

Le film est préacheté par Canal+ et Ciné+ et a bénéficié du soutien de nombreuses SOFICA (Cinecapital, Cinemage, Cineaxe, Indefilms, La Banque Postale Image), de la région Grand-Est, du département des Vosges, de CICLIC avec la Région Centre Val de Loire et avec la participation de JMH & Filo Films. 

Photo de tournage. Crédits Vosges Mag
Photo de tournage. Crédits Vosges Mag

 

© Raoul Gilibert / © 2022 MC4 – ORANGE STUDIO – JMH & FILO FILMS / © Olivier Toussaint

 

La fin du silence

  • Nationalité : France
  • Année de production : 2011
  • Casting : Franck Falise, Thierry Frémont, Maia Morgenstern
  • Réalisateur : Roland Edzard
  • Scénaristes : Roland Edzard
  • Production : Unlimited, Swift productions, Dorfilms, Les films de l'étranger, Galerie Heine, Poly-son
  • Distribution : Equation

  • Synopsis :

    Une dispute éclate dans une maison isolée des Vosges. Jean, le fils cadet de la famille, est jeté dehors. Il rejoint des chasseurs pour une battue et apprend à tuer. La nuit suivante, la voiture de sa mère est incendiée. On l’accuse. Jean disparaît alors dans la forêt…

« La première chose que je savais du film, c’est qu’il se tournerait là. Ce décor, dans la montagne, dans la forêt autour d’une maison isolée dans les Vosges, m’a toujours guidé. Cette histoire ne pouvait pas se passer dans une ville ni même dans un village. »

Roland Edzard (Dossier de presse du film)

« C’est carrément un personnage à part entière ! »

Philippe Avril, Directeur d’Unlimited Production lors de la première projection du film au palais des festivals de Cannes

« C’est un territoire que je connais bien, que j’ai beaucoup arpenté pour aller chez les copains, à travers la forêt. J’ai grandi à Lapoutroie et j’ai tourné le film entre l’Alsace et Plainfaing. »

Roland Edzard, Vosges matin. 14 septembre 2012

Une production soutenue par la région Alsace, la région Lorraine, la Communauté urbaine de Strasbourg  / Avec le concours des bureaux d’accueil des tournages du Grand Est.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes à Grendelbruch (Bas Rhin) : le refuge du Hohbuhl STIG Club Vosgien
  • scènes à Plainfaing (Vosges)

La fin du silence concentre son action dans « une maison isolée dans les Vosges » et dans la forêt environnante. Nous apprenons dans le dossier de presse du film que les repéreurs ont eu quelques difficultés à trouver le décor principal du film : « C’est après plusieurs semaines de recherche que le lieu idéal a enfin été trouvé dans les Vosges. Un lieu qui a entièrement satisfait le réalisateur. Un lieu isolé qui a abrité l’équipe durant la quasi-totalité du tournage » (Dossier de presse du film). L’ambiance du film est oppressante et ce sont les décors naturels qui créent cette atmosphère pesante : « Le massif des Vosges a une force tellurique et minérale. […] Le massif, la forêt et ses sapins apportent des fonds colorés, verts, sombres. Dans ce film, je voulais aussi jouer avec l’élément eau. La pluie, les sources… Ce sont des choses très présentes dans les Vosges et dans le film, il pleut beaucoup… Il faut reconnaître que j’ai plutôt donné une image rude et dure de la nature environnante qui n’est pas facile à amadouer. Le paysage fait partie du drame » (Vosges Matin, 14 septembre 2012). Ces scènes extérieures sont réellement forgées par la spécificité du territoire vosgien et par les conditions météorologiques qui lui sont liées. Les deux aspects marchent de concert afin de créer l’esthétique désirée par Roland Edzard. Ainsi la forêt des Vosges est-elle omniprésente dans La fin du silence.

Le réalisateur Roland Edzard, le doigt levé, dirige le jeune acteur Franck Falise, pré-nominé aux Césars du meilleur espoir masculin avec le film « La fin du silence ». Vosges Matin

Nos résistances

  • Nationalité : France
  • Année de production : 2011
  • Casting : François Civil, Michel Vuillermoz, Grégoire Colin
  • Réalisateur : Romain Cogitore
  • Scénaristes : Romain Cogitore
  • Production : Cinema Defacto
  • Distribution : Shellac distribution

  • Synopsis :

    Été 1944. François est un secouriste insouciant de dix-neuf ans, son désir secret est de pouvoir coucher avec son amoureuse. Un soir ils sont sur le point de franchir le pas, mais un résistant vient demander de l’aide. François monte au maquis pour impressionner la jeune fille et rejoint un groupe de quinze garçons immatures. Mais là-haut rien ne se passe comme prévu. La guerre les rattrape, marquant brutalement la fin d’une innocence et François se retrouve pris entre deux feux…

« Il s’agit avant tout d’univers et de puissance imaginative. Mon lieu de vie, l’endroit où j’ai grandi, nourrit mon imaginaire. Du pays Welche à la vallée de Munster, des collines du vignoble aux chaumes, des villes étudiantes jusqu’aux sommets désertés. La beauté de ces paysages, les cicatrices des guerres dans le relief de certains champs, les légendes qui peuplent les lieux-dits – les montagnes vosgiennes sont mon univers, ce que cela comporte comme charge émotionnelle, historique et légendaire. C’est donc de là, naturellement, que partent mes histoires. Filmer dans le massif vosgien, c’est le désir d’emmener les gens chez moi. »

Romain Cogitore (Dossier de presse officiel du film)

Une production soutenue par la région Lorraine, la région Alsace, la Communauté Urbaine de Strasbourg et le CNC.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes à Plainfaing et à Fontenoy-le-Château (Vosges)
  • scènes à Metzeral (Haut-Rhin)
  • scène à Lapoutroie (Haut-Rhin) : hôtel de l’étang du Devin

Le premier long-métrage de Romain Cogitore, né en Lorraine, nous plonge dans une histoire intime où l’Histoire percute la vie d’un groupe d’adolescents. Le film naît à partir d’une image. Le réalisateur explique : « La photo du groupe de maquisards où se trouvait mon grand-père au même âge que moi. Il posait avec une quinzaine de garçons regardant l’objectif. C’était une image saisissante : des jeunes gens vivant une vie d’aventuriers dans la forêt pouvaient donner naissance à une dramaturgie très forte ». Dans le film, si le maquis n’est pas situé géographiquement, Romain Cogitore a tenu à tourner en Alsace et dans les Vosges. Pour cet originaire de la région, les jeunes héros du film se battent pour préserver cette contrée.