Casting : Kad Merad, Géraldine Pailhas, Lola Creton
Réalisateur : Christophe Lamotte
Scénaristes : Christophe Lamotte, Pierre Chosson, Marc Syrigas, Arnaud Louvet
Production : Hugo Productions
Distribution : Rezo Films
Synopsis :
Synopsis : Daniel est un ex-policier reconverti dans le recouvrement de dettes. La cinquantaine solide, il effectue son «sale boulot» sans émotion, ni affect… Un jour d’hiver, sur le parking d’un routier, il se fait aborder par Laura, une fille de 18 ans qui lui demande de la raccompagner. Il accepte. En chemin, elle lui propose «ses services» contre de l’argent. Furieux, Daniel l’éjecte de sa voiture. Le remords et la violence de sa réaction le poussent à faire demi-tour et à revenir sur ses pas, mais Laura a disparu…
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Hettange-Grande (Moselle)
Kad Merad et sa doublure cascade ont été photographiés côte à côte lors du tournage de Disparue en Hiver à Hettange-Grande. Photo Archives RL/Pierre HECKLERLa maison du personnage joué par Kad Merad dans Disparue en Hiver correspond très précisément au 7, allée des Erables, au cœur de la commune mosellane de Hettange-Grande. Photo Archives RL/Pierre HECKLER
Durant l’hiver 1959, Vianne Rocher s’installe avec Anouk, sa petite fille, à Lansquenet, une petite bourgade française. En quelques jours, elle ouvre une confiserie à proximité de l’église. C’est une chocolatière hors pair : elle devine la gourmandise cachée de chacun et adapte ses recettes raffinées pour combler ses clients. De nombreux villageois s’abandonnent rapidement à ses irrésistibles friandises et succombent à ses délices sucrés. Mais la bourgeoisie huppée de la ville ainsi que le Comte de Reynaud sont outrés de voir les habitants envoûtés par les chocolats de Vianne. Craignant que ses friandises n’amènent les gens au péché et à l’oisiveté, le Comte s’oppose vivement au commerce de Vianne et, afin de causer sa faillite, interdit à quiconque de s’y rendre. La venue d’un autre étranger, le beau Roux, va bouleverser la donne. Il aide Vianne à tenir tête à ses détracteurs.
Casting : Gérard Depardieu, Ornella Muti, Michel Piccoli
Réalisateur : Marco Ferreri
Production : Les Productions Jacques Roitfeld
Distribution : Columbia France
Synopsis :
Gérard, adepte de moto, est ingénieur dans une usine de Créteil (Val-de-Marne). Quitté par sa femme Gabrielle, acquise aux thèses du MLF, il doit élever seul son petit garçon, Pierrot. Contraint de rentrer chez lui, à la suite d’un chômage technique, il passe reprendre son fils à la crèche et fait alors la connaissance de Valérie. Cette belle puéricultrice, qui s’apprêtait à partir pour la Tunisie avec Michel, un amant occasionnel, accepte de venir vivre, pour quelque temps, dans l’appartement de Gérard, situé dans un grand ensemble de la « ville nouvelle ». Leurs relations sensuelles leur font oublier le caractère désespérant de l’environnement. Le couple se forme. L’enfant est associé à leurs jeux amoureux. Valérie éprouve bientôt pour Pierrot des sentiments maternels, puis sympathise avec Gabrielle, venue leur rendre visite, et avec René, un ami de Gérard. Bien vite Valérie, se rendant compte qu’elle n’est qu’une femme-objet pour Gérard dont la jalousie s’accentue, se révolte et se refuse. Gérard n’acceptant pas cette remise en cause, le conflit est inévitable. Pour se rassurer sur sa virilité, il tente en vain de séduire Benoîte, une voisine. Après une violente dispute avec Valérie, il s’émascule à l’aide d’un couteau électrique.
« J’avais besoin d’un grand complexe industriel. Je l’ai trouvé. »
Marco Ferreri. Propos recueillis par Richard Bance, Le Républicain Lorrain du 9 novembre 1975
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Carling (Moselle) : plateforme chimique
Le film s’ouvre sur des images de l’impressionnante plateforme chimique de Carling : Gérard Depardieu arrive à moto sur la route longeant le steam-cracking n°1.
Gérard Depardieu et Renato Salvatori lors du tournage. Archives Le Républicain Lorrain.Marco Ferreri sur le tournage. Archives Le Républicain Lorrain.Gérard Depardieu lors du tournage. Archives Le Républicain Lorrain.
Casting : Simone Signoret, Philippe Léotard, François Simon
Réalisateur : Patrice Chéreau
Scénaristes : Georges Conchon
Production : Gaumont, Buffalo Films
Distribution : Gaumont
Synopsis :
Un grand quotidien régional, « La libre République », traverse une crise : les ressources publicitaires diminuent, les ventes baissent et son directeur, Hirsch-Balland (François Simon) est gravement malade. Journal indépendant, « La Libre République » avait été confié, au moment de la Libération, à la Résistance. Mais un millier de parts ont déjà été rachetées en sous-main par un important groupe de presse. Devant une menace aussi précise, certains vieux résistants s’indignent et cherchent un moyen pour sauver leur journal. Un nom s’impose à eux : Judith Therpauve (Simone Signoret). Judith a 57 ans, ancienne résistante elle- meme, elle est la veuve d’un des chefs régionaux qui a été déporté pendant la guerre. Aujourd’hui, vivant seule dans une grande propriété, elle s’occupe de ses rosiers. Ses enfants, qui viennent roder chaque week-end, elle ne les aime pas, les trouve médiocres. Quand on lui propose de remplacer Hirsch-Balland, Judith Therpauve sait qu’il s’agit d’un combat perdu d’avance. Elle le dit et le répète mais elle est fière et la vie l’a blessée : alors elle fera exactement le contraire et accepte de diriger le journal.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées dans la région de Metz (Moselle) : gare, siège du Républicain Lorrain
Si ce film a été tourné dans la région de Metz, la ville mosellane n’est pas citée explicitement. On reconnaît néanmoins la façade de la gare qui apparaît plusieurs fois dans le film.
Casting : Juliette Binoche, Noémie Lvovsky, Marie Zabukovec, Yolande Moreau
Réalisateur : Martin Provost
Scénaristes : Martin Provost, Séverine Werba
Production : Les Films du Kiosque
Distribution : Memento Films Distribution
Synopsis :
Depuis des années, l’école ménagère de Bitche, en Alsace, se donne pour mission de former ses jeunes élèves à devenir des femmes au foyer idéales. C’est la loi de l’époque : se marier et être au service d’un homme. À la veille des événements de mai 68, Paulette Van Der Beck, la directrice, secondée par sa belle-sœur Gilberte et sœur Marie-Thérèse, va voir toutes ses certitudes vaciller à la mort de son mari. Elle retrouve alors André, son premier grand amour…
Ce film a bénéficié du soutien à la production de la Région Grand Est (en partenariat avec le CNC), et de l’accompagnement du Bureau d’accueil des tournages Grand Est. Le logo Grand Est apparaît avant le début du générique du film.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes dans les Vosges : Routes des Crêtes, La Bresse
scènes dans le Haut-Rhin : Hunawihr et Bergheim
mentions écrites : Boersch en Alsace, Forbach, cristallerie de Saint-Louis, plaque d’immatriculation 67 (voiture et bus), Banque Alsacienne de Crédit sur la façade du bâtiment, Ohnenheim sur Rhin sur le flanc de l’autobus, carte routière des Vosges avec mention d’Epinal, Dompaire, Bruyères, Plombières, Vittel, Contrexéville, Darney
mentions sonores : « Alsace », « Forbach », la « cristallerie de Saint-Louis », « Strasbourg », « schnaps », « Strasbourg », « route de Lispach », « Le Hohneck », « Le Haut de Falimont », « choucroute », « strudel », « Jeanne d’Arc »
placement de produit : Le journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace, la vaisselle en faïence de Lunéville, le schnaps, la choucroute, strudel
La majeure partie du tournage s’est déroulé en Ile-de-France, dans le décor du pensionnat pour jeunes filles, et les quelques autres décors intérieurs. Cependant, l’histoire du film prend place en Alsace, où la production est donc naturellement venue tourner les séquences extérieures pour mettre en avant certains atouts des paysages lorrains du côté de La Bresse et de deux villages alsaciens. Unawihr et Bergheim ont ainsi accueilli le tournage deux jours chacun pour ces quelques séquences d’extérieur qui viennent ponctuer le film.
Dans les ruelles de Bergheim, les curieux ne voient pas grand-chose du tournage du film « La belle épouse ». Photo L’Alsace /Christelle DIDIERJEAN
Au tout début du film, un texte défile qui situe le contexte : l’action se déroule en Alsace « Boersch en Alsace, charmante bourgade célèbre pour ses remparts, ses vignobles et son fameux strudel ».
On voit à l’image des maisons à colombages et les forêts vosgiennes.
Image du film
Dans le film, un personnage dit à une élève de se taire car il est interdit de parler alsacien . De plus, beaucoup de noms des élèves sont à consonance alsacienne.
Le mari de la directrice lit les Dernières Nouvelles d’Alsace (même si la monstration à l’image n’est pas complète – on ne lit pas clairement » d’Alsace »).
Pendant tout le film, les personnages mangent dans de la vaisselle en faïence de Lunéville.
Image du filmImage du filmImage du film
Les spécialités culinaires alsaciennes sont aussi présentes dans le film. Par exemple, quand la directrice et son amant sont au restaurant, on leur sert une choucroute « bien de chez nous » qu’ils n’ont pas commandé et qui se trouve entre eux. Également, suspendu à une gouttière en train de se détacher, l’amant de la directrice qui essaie de la rejoindre lui donne la recette du strudel, apfel strudel pour lui prouver qu’il sait cuisiner et cela lui permet d’oublier sa peur.
Enfin, on voit une carte partant d’Alsace pour aller à Paris au moment du départ au salon des arts ménagers à Paris.
« Avec Séverine (Werba, la co-scénariste) nous avons très vite pensé à l’Alsace parce que c’est une région qui a beaucoup souffert de la Seconde Guerre mondiale. Une région éloignée, sauvage, comme l’était la Bretagne de mon enfance. »
« La Bonne Épouse pour moi n’est pas qu’une comédie, ou disons que c’est une comédie qui traite de choses sérieuses, l’émancipation des femmes. Paulette, directrice de l’école ménagère Van Der Beck, est coincée dans son propre rôle, puisque ce qu’elle enseigne n’est plus valable. En face d’elle, ses élèves commencent à affirmer leurs désirs. Elles veulent vivre pour elles-mêmes. Et quand Paulette retrouve son premier amour, elle est à son tour ébranlée par toutes ces forces qu’elle a réprimées en elle. C’est pourquoi la plupart des scènes avec André se passent en pleine nature, hors du carcan de son environnement très hiérarchisé. Je me rends compte, sans que ce soit vraiment conscient, que dans mes films la nature finit toujours par tenir une place particulière, ce n’est pas un simple décor. J’aime ces représentations qui relativisent le rôle de l’individu en lui donnant une position minuscule dans des paysages immenses, que ce soit chez Sempé, Hokusaï, ou Jérôme Bosch. Face au cosmos nos petits égos se réduisent à pas grand-chose, des particules. » Propos de Martin Provost – dossier de presse
DNA – 30 août 2019 (https://www.dna.fr/edition-de-colmar/2019/08/30/bergheim-sur-grand-ecran) : « La maison Schutzger, rue de la poudrière à Bergheim a fait partie d’une autre dimension pendant quelques jours. Pour les besoins du film de Martin Provost, La bonne épouse , la vieille demeure est devenue le temps de quelques jours, un bar épicerie des années 60. L’action se situe en Alsace, où les écoles ménagères formaient les femmes à devenir de bonnes épouses selon les critères alors en vigueur. Avec des premiers rôles importants comme Juliette Binoche, Yolande Moreau et Edouard Baer. Hélas aucun d’eux n’a été vu à Bergheim où ont été tournées certaines des dernières scènes du film.
Après quelques prises à Hunawihr, prévues vendredi et samedi, l’équipe présente, soit près de 50 techniciens et 6 comédiennes, s’éparpillera vers de nouveaux horizons. Une équipe qui s’est montrée ravie de l’accueil qui lui a été fait, de la mise à disposition de salles et de lieux de stockage. Il faut dire que la place centrale a été bloquée pendant une semaine, que le montage des décors s’est fait durant 15 jours dans l’ancienne caserne des pompiers, que la salle des votes est devenue salle de maquillage et que le point I s’est fait QG de l’opération. Peu de figurants ont été pris pour ces courtes scènes, Jean-Jacques Pfeiffer, Francis Kubler et Jean-Claude Flecher ont joué aux cartes dans l’épicerie sous la direction du metteur en scène. « Il faut être patient, dit Jean-Jacques, nous étions prêts en costume à 9 h du matin mais notre scène n’a été tournée que dans l’après-midi ». Une belle expérience pour lui qui a apprécié l’ambiance sympathique et hors du commun. »
Junga Mariappan, un parrain de la mafia, entreprend un voyage à travers la France et l’Europe. Son but : retrouver les dealers qui ont tué son meilleur ami et, le venger, coûte que coûte.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes dans les rues de Vic-sur-Seille (Moselle)
Vic-sur-Seille (Moselle) a accueilli une équipe bollywoodienne venue tourner en Lorraine l’espace d’une journée plusieurs scènes du film à gros budget Junga. Cette superproduction tire son nom de l’héroïne interprétée par l’une des étoiles montantes du cinéma indien, à savoir l’actrice Sayesha Saigal.
Sous les airs étonnés et curieux de nombreux habitants, une quinzaine de professionnels ont réalisé des dérapages et de nombreuses cascades dans les rues de Vic-sur-Seille. La prise la plus spectaculaire fut peut-être la course poursuite entre un taxi parisien et deux berlines allemandes pilotées par des mafieux armés.
Acteurs, cascadeurs, caméramans, maquilleurs, près de 70 personnes ont au total participé au tournage à Vic-sur-Seille sous un Soleil magnifique. Débuté à Paris puis au Château de Chambord, celui-ci se poursuivra prochainement en Autriche.
Casting : Bouli Lanners, Justine Lacroix, Sarah Henochsberg, Cécile Remy-Boutang
Réalisateur : Claire Burger
Scénaristes : Claire Burger
Production : Dharamsala, Arte
Distribution : Mars Distribution
Synopsis :
Synopsis : L’histoire de Mario, un homme qui tient la maison depuis que sa femme est partie. Désormais, il doit élever seul ses deux filles, adolescentes en crise. Frida, 14 ans, lui reproche le départ de sa mère. Niki, 17 ans, rêve de quitter la maison. Mario, lui, attend toujours le retour de sa femme.
« Le processus de travailler dans les infrastructures de la ville mais aussi de faire participer tous les habitants, c’est quelque chose que je trouve assez joyeux et qui me plaît beaucoup. » Claire Burger, France 3 Lorraine
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Forbach (Moselle) : le théâtre Le Carreau (scène, salle de spectacle, loges, régie, coulisses) , l’église Saint-Rémy, la mairie de la ville, le collège Jean-Moulin (mentions visuelles, salle de cours, salle de musique et couloirs et cour extérieure), le bar l’Embuscade
scènes à Freyming-Merlebach (Moselle) : l’église de la Chapelle, la salle Gouvy
mentions écrites : plaques d’immatriculation 57, affiche de spectacle (affichée au sein du théâtre, dans le hall d’entrée) avec la mention » Le carreau » et sur les portes extérieures du théâtre
mentions sonores : bar l’Embuscade de Forbach, quartier du Wiesberg (périphérie sud de Forbach), « Forbach »
Le deuxième long-métrage de Claire Burger, C’est ça l’amour, se déroule à Forbach. Après le succès de Party Girl, la réalisatrice forbachoise se livre un peu plus en racontant sa propre histoire. D’ailleurs, une partie du film a été tournée dans la maison de son père (sa maison d’enfance) et dans son jardin. Elle s’est entourée de comédiens amateurs et de 850 figurants locaux pour réaliser son film.
« J’ai écrit le scénario [de C’est ça l’amour] en pensant à la maison de mon père. C’est celle où j’ai grandi, je pouvais facilement imaginer le découpage, faire évoluer les personnages dans ce décor que je visualisais parfaitement » (Dossier de presse).
Ce film a bénéficié du soutien à la production de la Région Grand Est (en partenariat avec le CNC), et de l’accompagnement du Bureau d’accueil des tournages de l’Agence culturelle Grand Est.
Festival du cinéma européen des Arcs 2018 :
>Flèche de Cristal
>Prix d’interprétation masculine pour Bouli Lanners
>Prix du Jury Presse
>Femme de cinéma pour Claire Burger
Magritte et César belge pour Bouli Lanners
Sélection :
Mostra de Venise 2018 :
Sélection en section Giornate degli Autori / Venice Days
Casting : Benoît Magimel, Bruno Putzulu, Rüdiger Vogler
Réalisateur : Florent Siri
Scénaristes : Florent Siri
Production : Canal+, CNC
Distribution : Pierre Grise Distribution
Synopsis :
Synopsis : Marek, le Polonais, et Mimmo, l’Italien, vivent en Lorraine à Freyming-Merlebach (frontière franco-allemande) et travaillent à la mine depuis l’âge de seize ans. Ils sont amis et partagent les angoisses de la mine et les joies des sorties. En décembre 1995, une grève éclate et bouscule violemment leurs habitudes. Marek se sent concerné et veut trouver sa place auprès des syndicalistes, mais Mimmo rêve d’un avenir qui est ailleurs. Au fur et à mesure que la grève s’intensifie, la tension monte et leur amitié est mise à rude épreuve.
Présence de la région Grand Est dans le film : mention dans le synopsis du film de Freyming-Merlebach (Moselle).
Florent-Emilio Siri est né le 2 mars 1965 dans la Lorraine industrielle qu’il décrit dans son premier long-métrage Une minute de silence. Son père, d’origine italienne, était mineur de charbon à Freyming-Merlebach et ce premier film rend hommage à ce métier et à la dernière génération de mineurs. (Source Wikpédia)
« Originaire de Lorraine, Siri a retracé dans « Morte lente », un documentaire poignant, le destin d’une population en quête d’identité après la disparition de l’activité minière sur laquelle reposaient l’économie de la région. Dans un contexte similaire, il réalise en 1998, « Une minute de silence ». Un film avec déjà Benoît Magimel que l’on retrouve dans » Nid de guêpes ». L’acteur y incarnait un mineur polonais, dont l’amitié avec un collègue italien est mise à l’épreuve par un mouvement de grève. » (Source : Zoom cinéma. http://www.zoom-cinema.fr/film/nid-de-guepes/373/secret-de-tournage)
Ce premier long-métrage est récompensé en 1998 d’un Bayard d’Or de la meilleure première œuvre de fiction par le jury Émile Cantillon au Festival international du film francophone de Namur. Il obtient également e prix Cyril Collard et le prix du public au festival international du film Entrevues Belfort (1998).
Casting : Guillaume De Tonquédec, Jeanne Balibar, Nicolas Bouchaud
Réalisateur : Mario Fanfani
Scénaristes : Mario Fanfani, Gaëlle Macé, Philippe Mangeot
Production : 24 Mai Production, France 3 Cinéma
Distribution : Le Pacte
Synopsis :
Metz, 1959. Michel, un respectable notaire de province et sa femme Hélène qui partage son temps entre les œuvres caritatives et l’éducation de leur fils, forment un couple exemplaire. Le tableau serait banal si Michel ne dissimulait un lourd secret : tous les week-ends, il s’absente dans sa résidence secondaire pour devenir Mylène sous le regard de Flavia, travesti expérimenté et ancien camarade de la drôle de guerre. Sous son influence, le lieu devient la Villa Mimi, point de ralliement d’une petite communauté d’hommes qui jouent librement à être des femmes…
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Schiltigheim (Bas-Rhin) : la brasserie Schutzenberger et la Maison des Sociétés
scènes à Strasbourg (Bas-Rhin) : l’ancienne Manufacture de Tabac, le Café Brant et le Château de Pourtalès, les appartements privés des rues de la Broque, Gottfried, des Juifs et du Temple Neuf, la rue des Pucelles …
scènes à Oberhausbergen (Bas-Rhin) : la rue de la Colline
scènes à Wolfisheim (Bas-Rhin) : le fort Kléber
scènes à Wangenbourg (Bas-Rhin) : la Maison Forestière du Spitzberg
mention écrite : « Metz » (Moselle) dans le synopsis du film
Si l’histoire se situe à Metz, l’essentiel du tournage a eu lieu en Alsace, autour de la ville de Strasbourg.
Nationalité : États-Unis, Angleterre, France, Luxembourg, Pays-Bas
Année de production : 1997
Réalisateur : Anthony Waller
Scénaristes : Anthony Waller, John Landis, Tim Burns, Tom Stern
Production : Delux Productions, Hollywood Pictures, StudioCanal, Propaganda Films, Président Films, Stonewood Communications
Distribution : Metropolitain Filmexport
Présence de la région Grand Est dans le film : scènes à Metz (Moselle)
Synopsis : Andy, Chris et Brad, trois copains américains, font leur tour d’Europe avec pour tout bagage leur sac à dos et pour quête des sensations fortes. De passage à Paris, ils décident de passer la nuit au sommet de la Tour Eiffel. C’est ce moment qu’a justement choisi Séraphine pour mettre fin à ses jours en se jetant dans le vide. Andy la sauve de justesse grâce à son élastique de saut. Sauvée, la jeune femme disparaît. Mais Andy n’a plus qu’une idée en tête : revoir Séraphine. Quand il la retrouve, celle-ci lui ordonne de ne plus la voir, sous peine d’encourir un grave danger.