Alleluia

  • Nationalité : France et Belgique
  • Année de production : 2013
  • Casting : Laurent Lucas, Lola Dueñas, Stéphane Bissot
  • Réalisateur : Fabrice Du Welz
  • Scénaristes : Fabrice Du Welz, Vincent Tavier, Romain Protat
  • Production : Radar Films, Panique, Savage Film, One Eyed, Versus Production, Canal+
  • Distribution : Carlotta Films

  • Synopsis :

    Lorsque Gloria accepte de rencontrer Michel, contacté par petite annonce, rien ne laisse présager la passion destructrice et meurtrière qui naîtra de leur amour fou…

« Des scènes du film ont pour décor la ferme du Valendon et son incroyable panorama ».

Est Républicain, 16 octobre 2013

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes à Montmédy (Meuse) : le cinéma Lux, l’ancienne friterie à l’entrée de la ville, la ferme du Valendon, etc.
  • scènes à Marville (Meuse)
  • scènes à Longuyon (Meurthe-et-Moselle)

En 2013, l’équipe d’Alleluia a tourné quasiment trois mois dans le Longuyonnais (Meurthe et Moselle) et ses environs. À l’écran, le gîte La Buissonnière, situé à Petit-Xivry, est devenu la maison de Gabriella (Anne-Marie Loop). Nous apercevons également l’église du village. De Longuyon, nous découvrons l’ancienne discothèque Le Malibu ou encore l’hôtel-restaurant Le Mas. Enfin, l’ancienne friterie à l’entrée de Montmédy (Meuse) a repris du service et la façade du cinéma Lux sert de décor dans les ultimes plans du film.

Tournage à Petit-Xivry. Rose Hardouin/Républicain Lorrain
Les spectateurs attentifs et habitants du secteur reconnaîtront la façade du cinéma Lux de Montmédy dans les ultimes plans du film Alleluia. Elle y rougeoie de mille éclats ! Photo Samuel MOREAU/Républicain Lorrain

Suite française

  • Nationalité : France, Grande-Bretagne, Belgique, Canada
  • Année de production : 2014
  • Casting : Michelle Williams, Kristin Scott Thomas, Matthias Schoenaerts
  • Réalisateur : Saul Dibb
  • Scénaristes : Matt Charman, Saul Dibb
  • Production : Alliance, Qwerty Films, Scope Pictures, TF1 Films Production, The Weinstein Company
  • Distribution : UGC Distribution

  • Synopsis :

    Synopsis : Été 1940. France. Dans l’attente de nouvelles de son mari prisonnier de guerre, Lucile Angellier mène une existence soumise sous l’œil inquisiteur de sa belle-mère. L’arrivée de l’armée allemande dans leur village contraint les deux femmes à loger chez elles le lieutenant Bruno von Falk. Lucile tente de l’éviter mais ne peut bientôt plus ignorer l’attirance qu’elle éprouve pour l’officier…

« Il était fondamental pour l’équipe de tourner les extérieurs de Bussy sur une vraie place de village avec une mairie. En trouver une qui ne soit pas trop modernisée et qui puisse être fermée à la circulation pendant le tournage a été compliqué. C’est la ville de Marville qui a convaincu tout le monde lors des premiers repérages. Marville est restée depuis des années relativement à l’écart du modernisme. On n’y trouve ni magasins à la mode, ni panneaux publicitaires, ni panneaux de signalisation routière, ni antennes sur le toit des maisons ».

« C’est le type même de ville occidentale un peu abîmée par le temps, pleine de charme. Une route y mène, une autre en sort, et au milieu trône une église. Nous pouvions filmer à 360° alors que dans la plupart des films historiques, on manque d’argent, on n’a le droit de filmer que ce coin-ci ou on ne peut se permettre de décorer que ce coin-là. »

Saul Dibb (Dossier de presse du film)

Présence de la région Grand Est dans le film : scènes à Marville (Meuse)

Dans le film, Madame Angellier (Kristin Scott Thomas) et sa belle-fille Lucile (Michelle Williams) sont contraintes d’accepter la présence de soldats allemands dans leur demeure située à Marville. Le village est donc un des lieux principaux du film.

Pour ces scènes, Saul Dibb cherchait un décor naturel, un lieu qui symboliserait un village français occupé pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans la diégèse, l’histoire se déroule à Bussy (Seine-et-Marne) mais les lieux dans leur état actuel ne permettaient pas de créer l’illusion désirée. Finalement, le réalisateur arrête son choix sur la commune de Marville pour son architecture et ses façades. Le village a accueilli les scènes de l’invasion des troupes allemandes en 1940. Ici, le territoire placé dans le film fonctionne comme un marqueur spatio-temporel.

En amont du tournage du film Suite française, les Marvillois et leurs visiteurs avaient pu assister à la transformation progressive du village meusien en bourg du Centre de la France à l’époque de la Seconde Guerre mondiale. Républicain Lorrain
En amont du tournage du film Suite française, les Marvillois et leurs visiteurs avaient pu assister à la transformation progressive du village meusien en bourg du Centre de la France à l’époque de la Seconde Guerre mondiale. Républicain Lorrain
La Grande Place de Marville. Photo DR/Thibault VANIER
Marville. Vosges Matin
Originaire de Verdun, la société M3 Production avait participé au tournage de Suite française, notamment pour assurer le recrutement des nombreux figurants nécessaires sur le plateau. Photo DR/M3 Production