Casting : Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin
Réalisateur : Amélie Bonnin
Scénaristes : Amélie Bonnin, Dimitri Lucas
Production : Topshot Films
Distribution : Pathé
Synopsis :
Dès qu’elle l’a pu, Cécile a quitté le restaurant routier familial pour monter à la capitale, où elle a ouvert son propre restaurant gastronomique. Lorsque sa mère l’appelle pour lui annoncer que son père a eu un accident, elle doit revenir chez elle pour les aider…
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Haguenau, Strasbourg, Colmar (Alsace) et Saint-Dizier (Haute-Marne)
Le tournage se déroule en juin 2024.
Avec ce long métrage, Amélie Bonnin s’inspire de son court éponyme, salué du César du court métrage de fiction, en 2023.
Scénaristes : Valérie Ranson Enguiale, Gabriel Le Bomin
Production : Vertigo Productions
Synopsis :
1940. De Gaulle s’oppose à Pétain car il souhaite poursuivre l’offensive militaire. À Colombey, Yvonne, sa femme, est contrainte de partir. La famille connaît les routes de l’exode jusqu’en Bretagne. Alors que l’armistice se profile, de Gaulle choisit de partir à Londres où Churchill, qui devient un allié, lui permet de parler à la BBC le 18 juin. Yvonne et Charles finissent par se retrouver, après un long périple, dans la capitale londonienne.
« Entrer dans l’intimité de Charles de Gaulle était aussi une manière de voir différemment ce personnage que l’on regarde habituellement de bas vers le haut: nous voulions le montrer à hauteur d’homme… ».
Yvonne « quitte la maison familiale de la Boisserie à Colombey-les-Deux-Eglises en Haute Marne pour se réfugier chez sa sœur dans le Loiret avant de partir vers la Bretagne à Carantec puis à Brest où elle tente de monter à bord d’un bateau pour l’Angleterre… »
Mentions sonores : « Colombey serait un bon gite s’il n’était pas sur la route de Paris à Strasbourg » (Général De Gaulle dans une lettre adressée à sa femme) ; « Vos combats et notamment celui de Verdun » (le ministre de l’intérieur (Mandel) à Pétain ; « Le vainqueur de Verdun peut-il se tromper à ce point » (La secrétaire en entendant le discours de Pétain)
Le début du film se déroule à Colombey-les-Deux-Églises, dans la maison familiale.
Le premier film de cinéma sur le Général. Cette année 2020 est marquée par de nombreuses commémorations : les 80 ans de l’appel du 18 juin 1940 et les 50 ans de la mort de Charles de Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises, le 9 novembre 1970.
« Charles de Gaulle est bizarrement un personnage très peu abordé au cinéma…
Aucun film de cinéma ne lui a jamais été directement consacré en effet. Il y a eu quelques téléfilms [ l’Appel du 18 juin, Le Grand Charles ] mais sur la période de la traversée du désert, beaucoup de documentaires mais pas de film de fiction au cinéma même si le personnage apparaît parfois en silhouette ou en ombre, comme une sorte d’icône que l’on n’oserait pas aborder de face… C’est très étrange! »
« Le réalisateur Gabriel Le Bomin choisit de mettre en scène l’homme pris dans les tourments de la grande Histoire. Lambert Wilson propose une interprétation plus libre en s’éloignant de tout mimétisme gaullien, pour laisser le spectateur accéder à l’intimité du personnage ». Pierre Neveux et Fiona Moghaddam, De Gaulle : très longtemps trop écrasant pour être incarné à l’écran. 07/03/2020, France Culture.
« Quand nous avons commencé à réfléchir à un sujet de film sur ce personnage historique avec Valérie Ranson-Enguiale ma coscénariste, nous sommes vite tombés d’accord sur le fait que nous ne pouvions pas raconter toute sa vie car il y a plusieurs de Gaulle en un. Alors, par où l’aborder? Ce qui nous a intéressé c’est le de Gaulle «illégitime»: l’homme de juin 1940, celui qui dit «non». C’est sans doute le moment de sa vie où il est le plus fragile, le plus intéressant donc le plus humain… Car sous tendu à ce projet, il y avait l’ambition d’accéder à l’intime. […] Le film est l’histoire d’un couple. Yvonne et Charles de Gaulle avaient une relation forte, très construite et on le voit bien dans les lettres qu’ils s’échangent à cette époque ou dans ses «Mémoires de guerre», qu’il lui dédie «pour vous Yvonne, sans qui rien ne se serait fait». Yvonne est très présente dans les choix qu’il fait, notamment dans ces moments où il est fragile. C’est elle qui lui donne alors la force de continuer… En caricaturant, on pourrait voir Yvonne de Gaulle comme la coach d’un boxeur qui lui dirait: «n’oublie pas qui tu es»! ». […] Entrer dans l’intimité de Charles de Gaulle était aussi une manière de voir différemment ce personnage que l’on regarde habituellement de bas vers le haut: nous voulions le montrer à hauteur d’homme… ». […] «De Gaulle » est un film que je n’aurais peut-être pas pu réaliser il y a 10 ans. On m’aurait dit qu’Yvonne de Gaulle n’était pas un personnage assez intéressant… Or il me semblait important de montrer qu’à côté d’un grand homme comme Charles de Gaulle il y avait aussi une femme qui était tout sauf transparente! ».[…] L’histoire m’intéresse car elle est faîte d’une matière narrative très dense. Ce n’est pas de la fausse modestie mais je pense ne pas avoir beaucoup d’imagination: raconter ma vie ne m’intéresse pas du tout. Ce qui me passionne c’est l’actualité, j’adorerais faire un film politique contemporain et avec «De Gaulle» j’ai le sentiment d’en avoir tourné un sur l’actualité politique de 1940. Et puis je suis persuadé que les films d’histoire sont l’émanation de leur époque: à travers l’évocation du passé on y parle aussi du présent. […] Le film historique permet en terme de mise en scène ce que j’appelle le style. Tous les éléments que vous placez devant votre caméra ont été choisis: du tissu d’un meuble à un costume en passant par le moindre accessoire et même la couleur globale. C’est plus aléatoire dans un film contemporain où les éléments du réel sont moins maitrisés».
Propos de Gabriel Le Bomin (dossier de presse Unifrance)
Basile a 11 ans, il est amoureux (comme on peut l’être à cet âge) de Cécile, jolie jeune fille de 16 ans. Pour attirer son attention, Basile va lui faire croire qu’il s’est réincarné. Pour cela, il se sert des souvenirs de Rose, danseuse étoile blessée qui vit cloîtrée depuis la fin de la deuxième guerre mondiale au premier étage de la maison des grands-parents de Basile.
« On a tourné en octobre, car le film avait du retard, Il neigeait, l’étais en robe d’été. Et pour que le n’expire pas de buée, je devais me mettre des glaçons dans la bouche avant les prises! Un grand souvenir ! » Brigitte Bémol, propos recueillis par David Guérin (sources : www.saint-dizier.eu)
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Wassy (Haute-Marne) : la gare notamment
scènes tournées à Eurville (Haute-Marne)
La gare de Wassy constitue un ensemble ferroviaire monumental caractéristique des chemins de fer de l’est au XIXe siècle. Elle est desservie par la ligne Saint-Dizier – Doulevant-le-Château. C’est aujourd’hui le siège de l’association des Amis de la Gare de Wassy qui y stationne ses véhicules ferroviaires. Plusieurs films furent tournés dans ce décor, notamment Je m’appelle Victor de Guy Jacques, en 1992 et Un vrai bonheur de Didier Caron, en 2004. (sources : Wikipédia)
Casting : Georges Guetary, Mila Parély, Jean Tissier
Réalisateur : Gilles Grangier
Scénaristes : André-Paul Antoine
Production : Sirius, Gaumont
Distribution : Sirius
Synopsis :
Au XVIIIe siècle, dans les Flandres, un jeune seigneur, vif et bien chantant, s’amuse sous un nom d’emprunt à berner le chef des gabelous Monsieur de Saint-Brissac, afin de récupérer l’équivalent des domaines dont il a été dépossédé. A ce petit jeu, il finit par gagner le cœur de Mademoiselle de Saint-Brissac.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées au Château de Vaudrémont (Haute-Marne)
Casting : Christian Clavier, Tsilla Chelton, Catherine Jacob
Réalisateur : Gérard Oury
Scénaristes : Gérard Oury, Marcel Jullian
Production : Gaumont
Distribution : Gaumont
Synopsis :
Urbain Donnadieu est né avec la soif de l’or. Orphelin, il a été élevé par sa grand-mère, Mémé-Zézette qui aime les sous encore plus que lui. Urbain fabrique des maisons pré-construites qu’il livre par route, clés en mains, en France et à l’étranger. Tout aurait donc été pour le mieux dans la meilleure tirelire si, brusquement, n’était intervenue dans ses affaires Fleurette Moulin, polyvalente de son état. Mademoiselle Moulin prenait un plaisir intense à terroriser les fraudeurs, plaisir qui l’aidait à éteindre la soif sexuelle qui habitait un corps fort désirable…
Présence de la région Grand Est dans le film :
scène tournée sur l’autoroute A31 au niveau de Langres (Haute-Marne)
Dans le film, la région Grand Est est peu visible. Les personnages roulent sur l’autoroute A5, puis sur l’A31 et sortent au niveau de la sortie N19 à quelques kilomètres de Langres (32 à 35e minutes du film).
Casting : Marlene Dietrich, Jean Gabin, Daniel Gélin
Réalisateur : Georges Lacombe
Scénaristes : Pierre Very
Production : Alcina
Distribution : Compagnie Parisienne de Location de Films (CPLF), Gaumont
Synopsis :
Martin Roumagnac, important entrepreneur à Clairval, s’éprend de Blanche, une jeune fille qui n’est pas de son milieu, en fait sa maîtresse et construit pour elle une magnifique villa. Peu après, Blanche est demandée en mariage par un ami de sa famille. Elle hésite sur la décision à prendre, si bien que Roumagnac, croyant la perdre, l’étrangle et incendie la villa. Acquitté faute de preuves, Martin se laisse cependant abattre par un surveillant de collège, amoureux de Blanche et qui, par surcroît, le sait coupable.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Saint-Dizier (Haute-Marne) : Jardin de l’Hôtel de Ville
scènes tournées à Perthes (Haute-Marne)
Au sortir de la guerre, deux des plus grandes stars de l’époque font leur retour sur les écrans. Deux mois durant, Marlene Dietrich et Jean Gabin sont hébergés par le producteur Edmond Descharmes au château de Vaudrémont, pour le tournage de Martin Roumagnac. Le début d’une longue histoire d’amour entre le 7e Art et le département.
Gabin ayant acquis les droits du livre en 1937 et refusant une proposition de Marcel Carné pour un rôle dans « Les enfants du paradis », le couple et le réalisateur Georges Lacombe vont passer dix jours à Saint-Dizier et dans les environs.
Marlène Dietrich et Jean Gabin qui ne se quittent plus depuis leur rencontre à Hollywood durant la guerre, logent au château de Vaudremont près de Chaumont à quelques pas de Châteauvillain.
Les scènes seront tournées au bord de la marne, aux environs de Perthes et pour la partie ville au café de l’industrie.
Casting : Salomé Stévenin, Mehdi Dehbi, Bruno Clairefond
Réalisateur : Bruno Ballouard
Scénaristes : Bruno Ballouard
Production : offshore
Distribution : Zelig Films Distribution
Synopsis :
Ouvrier ou joueur de poker, Samir et Xavier vivent au jour le jour. Jeune femme brillante et future mariée, Liza a un avenir tout tracé. Ils et elle se retrouvent par hasard le temps d’un week-end pour un séjour aussi improbable qu’initiatique. Ils lui apprennent à se sentir Russe, font la course en marchant sur les mains, ils la protègent lors de leur confrontation au monde ; mais c’est elle qui leur apprendra ce qu’est véritablement la liberté.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Langres (Haute-Marne)
Le financement de Lili Rose a été permis grâce au soutien de la région Champagne-Ardenne et de la Bretagne.
Le tournage est accompagné par le Bureau d’accueil des tournages de Champagne-Ardenne et financé par l’ORCCA l’office régional culturel de Champagne-Ardenne à hauteur de 100 000 euros.
C’est la troisième fois que Bruno Ballouard reçoit le soutien de la région Champagne-Ardenne pour réaliser un film : Micheline, tourné à Fismes dans la Marne en 2007 et Johnny, tourné à Aix-en-Othe, dans l’Aube, en 2010.
Le tournage s’est tenu du 13 au 28 juillet 2013 et comprenait une équipe de 26 personnes, 3 comédiens mais aussi des figurants sélectionnés à Langres. La plupart des scènes ont été tournées de nuit.
Synopsis : Ouvrier ou joueur de poker, Samir et Xavier vivent au jour le jour. Jeune femme brillante et future mariée, Liza a un avenir tout tracé. Ils et elle se retrouvent par hasard le temps d’un week-end pour un séjour aussi improbable qu’initiatique. Ils lui apprennent à se sentir Russe, font la course en marchant sur les mains, ils la protègent lors de leur confrontation au monde ; mais c’est elle qui leur apprendra ce qu’est véritablement la liberté.
Casting : Marie Vincent, Laetitia Casta, Stefano Accorsi
Réalisateur : Gilles Legrand
Scénaristes : Gilles Legrand, Philippe Vuaillat, Jean Cosmos
Production : Epithète Films
Distribution : Warner Bros. (France)
Synopsis :
Au sortir de la Grande Guerre, Angèle, 20 ans, est déterminée à devenir la première femme vétérinaire. A travers son destin aventureux, elle sera l’objet d’une rivalité sans merci entre son promis, un industriel visionnaire mais sans scrupule, et un homme simple, retiré dans la montagne, près des loups et loin de la folie des hommes. Angèle va exploiter au mieux cette rivalité pour atteindre son véritable objectif : sauver les loups.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées aux alentours de Saint-Dizier (Haute-Marne) : intérieur de la fonderie de Dommartin-le-Franc.
Le deuxième long métrage de Gilles LEGRAND intitulé « la jeune fille et les loups » a été tourné pour certains plans dans la région de Saint-Dizier, dans la vallée de la blaise et plus précisément à la fonderie de Dommartin-le-Franc.
Casting : Erik Colin, Pierre Tornade, Jean Lefebvre
Réalisateur : Robert Lamoureux
Scénaristes : Robert Lamoureux, Jean-Marie Poiré
Production : Gaumont
Distribution : Gaumont
Synopsis :
La suite des aventures du trio de la septième compagnie lors de la Débâcle de : Tassin, Chaudard et Pithivier échappent aux Allemands et sont recueillis en caleçon par la mère Crouzy qui leur fournit des uniformes d’officiers français abandonnés par leurs détenteurs pendant la débâcle. Nos trois héros se font arrêter à nouveau et sont conduits dans un château où une grande partie de l’état-major français est détenue. Les trois bidasses, devenus officiers malgré eux, sont sur le point de faire évader tous ces officiers quand, malencontreusement, alors qu’ils referment la porte derrière eux à la sortie des souterrains, le sol de la forêt s’écroule avec des arbres et bloque la sortie, obligeant les officiers à rebrousser chemin dans les galeries communicant avec le château. Quant aux trois soldats, ils se retrouvent enfin libres. S’ensuit une petite série d’évasions à chaque fois sous l’œil médusé de leur supérieur le capitaine Dumont (Pierre Tornade) qui ne comprend pas comment font ces trois tocards pour s’évader.
Présence de la région Grand Est dans le film : scènes de train tournées dans les environs de Santenoge (Haute-Marne).
Casting : Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Maurice Biraud
Réalisateur : Pierre Granier-Deferre
Scénaristes : Pierre Granier-Deferre et Pascal Jardin
Production : Lira Films
Synopsis :
En mai 1940, Julien Maroyeur, modeste réparateur de postes de radio dans un village du Nord de la France, décide de fuir avec sa femme Monique, enceinte, et leur petite fille. Dans le train bonde, ils sont séparés. Les hommes sont parques dans les wagons a bestiaux. Séparé de sa femme, Julien fait la connaissance d’Anna, une jeune Allemande qui fuit ses compatriotes car elle est d’origine juive.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Fumay (Ardennes)
scènes tournées à Langres et Poinson-les-Grancey (Haute-Marne)