Installé depuis 15 ans au Sénégal, Adrien mène une vie paisible au côté de sa compagne Aminata. Lorsqu’ il est renvoyé en France pour un problème de visa, il débarque chez Sékou, un cousin éloigné de sa femme, qui travaille comme commercial à Paris.
Contraint par sa patronne d’aller en régions à la rencontre de clients, Sékou n’a d’autre choix que d’embarquer ce drôle de cousin dans un tour de France qui leur réserve bien des surprises.
Présence de la région Grand Est dans le film :
Scènes tournées à Troyes (Aube)
Tournée en partie à Troyes, cette comédie de Ludovic Bernard produite par Prélude avec au casting Ahmed Sylla et Hakim Jemili, a bénéficié de l’accompagnement de Troyes Champagne Métropole, collectivité partenaire du réseau Plat.
Le tournage à Troyes s’est effectué sur deux jours dans trois décors différents. Le film est un long métrage nécessitant la présence d’une soixantaine de techniciens. Près de 100 figurants ont également été castés pour apparaître dans les scènes jouées dans l’Aube.
Les frères Lumière filment, en 1899, cette scène de fin de marché à Reims. On y reconnaît les maisons médiévales à colombages ainsi que la “criée” métallique, qui disparaîtra dans les années 1930. Des passants et des marchands investissent les lieux, témoins d’une activité urbaine et commerciale intense. Ce film s’intitule Reims : le marché. Vue N°1187
Les frères Lumière ou un de leurs opérateurs ont cadré la fontaine D’Argence, œuvre produite par Mathurin Moreau dans le cadre de sa collaboration avec la fonderie d’Art du Val d’Osne (Haute-Marne). La ville de Troyes doit cette fontaine à un leg de l’ancien Maire de la ville, Désiré Argence. Ils choisissent de filmer cette sculpture en fonte, inaugurée deux ans auparavant et devenue le symbole de la ville de Troyes. A l’époque au cœur d’une rue commerçante, les passants s’animent autour de la fontaine. Ce film s’intitule Troyes : la fontaine Dorgence. Vue N°1185
Une autre vue de Troyes a également été réalisée par les frères Lumière. Il s’agit de l’hôtel de ville (aujourd’hui place Alexandre Israël). Vue N°1184
Actuellement, la sculpture est visible place Jean Moulin au milieu du carrefour. Elle est composée d’une vasque principale en octogone de 10 mètres de diamètre divisée en huit triangles. Au-dessus se trouvent des enfants abrités par un vase avec des jets d’eau. Le tout est surmonté d’une lampe électrique. En dessous de la vasque, sont disposés quatre grands personnages au milieu de cordes et de coquillages. Dans le bassin, on peut admirer quatre cygnes et quatre sirènes rejetant de l’eau.
Casting : Isabelle Carré, Bernard Campan, Mounir Amamra
Réalisateur : Ivan Calbérac
Scénaristes : Ivan Calbérac
Production : France 2 Cinéma, Studio Canal
Distribution : Studio Canal
Synopsis :
Divorcé du genre bourru, et célibataire depuis trop longtemps, Jacques tient seul une petite cave à vins. Hortense, engagée dans l’associatif, tout proche de finir vieille fille, débarque un jour dans sa boutique et décide de s’inscrire à un atelier dégustation. Mais pour que deux âmes perdues se reconnaissent, il faut parfois un petit miracle. Ce miracle s’appellera Steve, un jeune en liberté conditionnelle, qui, contre toute attente, va les rapprocher. Et quand trois personnes issues d’univers si différents se rencontrent, c’est parfois un grand bonheur… Ou un chaos total. Chacun à leur manière, ils vont sérieusement déguster !
Présence de la région Grand Est :
scènes tournées au Cellier Saint-Pierre, à Troyes (Aubes)
Le tournage du long-métrage «La dégustation» s’est en partie déroulé au Cellier Saint-Pierre, la boutique de vins et spiritueux en face de la cathédrale de Troyes.
Il a fallu deux semaines aux équipes du film pour transformer le lieu en un plateau de tournage. Ce film met en scène Bernard Campan et Isabelle Carré dans les rôles principaux.
Ce film est une adaptation de la pièce de théâtre d’Ivan Calberac.
Casting : Pierre Tchernia, Michel Serrault, Claude Brasseur
Réalisateur : Pierre Tchernia
Scénaristes : Pierre Tchernia, René Goscinny
Production : Dargaud Films, United Artists
Distribution : Les Productions Artistes Associés
Synopsis :
Nous sommes en 1930. M. Martinet, paisible célibataire de 59 ans, n’a plus beaucoup d’années à vivre, si l’on en croit son médecin, Léon Galipeau. Celui-ci voit une excellente occasion de faire profiter son frère Emile d’un viager intéressant. Martinet possède en effet une maison dans un petit village tranquille, St. Tropez. Les Galipeau acceptent d’indexer le viager sur l’aluminium, tant ils sont persuadés du décès prochain de Martinet… Mais celui-ci tient bon et supporte même allègrement les aléas de la guerre. La famille Galipeau cherche alors par tous les moyens à activer son trépas; elle le dénonce à plusieurs reprises, mais les fluctuations politiques jouent en faveur du vieil homme, qui est décoré. En 1949, Martinet résiste aux excès de table que ses hôtes parisiens ont agencés pour lui, mais Marguerite Galipeau en meurt. Emile succombe au cours de la promenade en pédalo qu’il avait diaboliquement organisée. Le cours de l’aluminium monte toujours… Léon et sa belle-soeur décident d’en finir, car le viager s’avère terriblement coûteux, et d’employer les grands moyens: ils cirent l’escalier, scient les balcons; ils seront les victimes de leur ingéniosité. Noël, fieffé voyou héritier des Galipeau, ne viendra pas à bout du coriace centenaire, qui contemplera, ému, le feu d’artifice provoqué involontairement par le dernier de ses « bienfaiteurs ».
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Troyes : la gare
Dans le film Le Viager sorti en 1972 de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Michel Galabru, plusieurs scènes sont tournées à la gare de Troyes.
Casting : Jean Rochefort, Camille de Casabianca, Arlette Bonnard
Réalisateur : Alain Cavalier
Scénaristes : Camille de Casabianca, Alain Cavalier
Production : Les Productions de la Guéville
Distribution : Playtime
Synopsis :
Pierre (Jean Rochefort) attend sa mère qui vit seule en province et vient le voir de temps en temps. Aujourd’hui elle n’est pas arrivée à l’heure prévue. Inquiet, il finit par prendre sa voiture et se rend à Troyes où elle habite. La maison est vide, rangée et fermée. Pierre rentre à Paris et va voir sa fille, Amélie (Camille de Casabianca). Il la trouve au lit, malade. Étudiante brillante, elle supporte mal la société dans laquelle elle se prépare néanmoins à entrer. Amélie va accepter d’accompagner son père dans sa recherche maternelle. Ils feront tous les deux, à pied, le trajet Troyes-Paris en suivant les voies du chemin de fer, car la mère de Pierre devait prendre le train. Et, peu à peu, jour après jour, un dialogue, pas toujours formulé mais sincère, va rapprocher les deux marcheurs, le père et la fille. Celle-ci tentera pourtant de le rompre, de partir en laissant cet homme à sa folle recherche. Mais elle restera avec lui, même quand elle découvrira le corps de sa grand-mère tombée du train. Elle ne le dira à son père qu’au terme du voyage.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Troyes(Aube) : la gare tricasse et un chalet de la gare de Bar-sur-Aube.
Au début des années 80, Jean Rochefort était venu tourner un film dans le département : « Un étrange voyage » (sorti en 1981). Derrière la caméra, Alain Cavalier. Pour ce film, Jean Rochefort était à l’affiche avec Camille de Casabianca. L’histoire de ce drame : la disparition d’une femme lors d’un trajet, en train, entre Troyes et Paris. La gare tricasse mais aussi le « chalet » de la gare de Bar-sur-Aube (désormais détruit pour laisser la place aux services de Pôle Emploi) avaient notamment été des lieux remarqués de tournage. Dans le film, Jean Rochefort (le père) et Camille de Casabianca (la fille) parcourent, à pied, l’itinéraire du train.
Dans Télérama, le réalisateur, Alain Cavalier explique qu’il lui fallait, pour son film : « une ligne ferroviaire sans poteaux électriques pour ne pas « polluer » les images et la seule disponible était Paris-Bâle (c’est encore le cas aujourd’hui). C’était dangereux : les trains ne s’arrêtaient pas de circuler pour autant, et des agents SNCF nous prévenaient de leur arrivée avec d’énormes cornes ».
Pour voir l’extrait du film tourné dans l’Aube, c’est par ici !
Si le long-métrage n’a pas marqué la filmographie de l’acteur, il n’en reste pas moins un souvenir pour les chanceux qui avaient eu la chance de le croiser lors des jours de tournages, il y 37 ans… C’est le cas de Gérard Arcelin, un Baralbin d’origine qui se rappelle « avoir discuter avec lui sur l’un des bancs de la gare de Bar-sur-Aube. Il avait avec lui, ce jour-là, un gros chien blanc et une voiture coccinelle blanche ».
scènes à Troyes (Aube) : Les Foires de Mars, 8 boulevard du Général Charles Delestraint
Synopsis : C’est l’histoire de Claude Mendelbaum, un homme un peu plaintif avec un boulot pas très sexy et une mère à l’ouest, un timide au grand cœur, un physique populaire de chef de rayon de supermarché – bref, un homme qui ne plaît pas tellement aux femmes. Alors, il est seul, Claude, et ça fait deux ans que ça dure. Mais il en peut plus d’être seul. Il part à la recherche de La Femme. Il se trouve un partenaire de croisière, Serge, un guide spirituel, son contraire. Un homme qui n’a peur de rien, même pas du ridicule. Et à nos deux compères de réaliser que, pendant tout ce temps, ce qu’ils cherchaient était là, devant eux. Sans le savoir. Une amitié, une vraie, en attendant…
Casting : Gérard Rinaldi, Gérard Filipelli, Jean Sarrus
Réalisateur : André Hunebelle
Scénaristes : Jean Halain
Production : Films Christian Fechner , Renn Productions
Distribution : AMLF
Synopsis :
Quatre valets racontent à un écrivain public, un certain Dumas, comment leurs maîtres, Athos, Porthos, Aramis et d’Artagnan (mousquetaires du roi Louis XIII… ) purent, grâce à leur aide, acquérir la notoriété que l’on sait. Les valets, utilisant tour à tour la ruse, la brutalité cocasse, le déguisement, sèment la zizanie dans l’équipe du Cardinal de Richelieu, de Rochefort, de Milady, et du curieux Père Joseph, conseiller de son Eminence. Pour cette fois, et en attendant la suite de ces aventures, l’honneur de la Reine est sauf, et les compères sont en pleine forme!… Le second épisode dira peut-être si les manigances du Cardinal seront publiquement déjouées…
C’est l’histoire d’un homme seul dans un compartiment de première; un homme qui aime la bière, par désespoir. C’est l’histoire d’une femme qui hante les gares et qui a vu l’homme sur le quai, qui l’a suivi dans le train et qui l’aborde…; d’une femme qui raconte une histoire à un homme, son histoire. Il s’appelle Robert Avranche; il rapporte de Suisse ses économies de garagiste. Elle, c’est une femme qui se donne aux hommes de passage, et qui ne sourit pas. Une femme divorcée à qui l’on a enlevé ses enfants. Donatienne… qui aime Duval, qui ne le lui rend pas, et à laquelle s’attache Robert, bien qu’elle ne le veuille pas. C’est l’histoire d’un homme qui cherche une femme brutalement disparue. Qui la perd et la retrouve sous les traits d’une institutrice, Marie-Thérèse. C’est l’histoire d’un homme que l’on réveille dans un compartiment de train et qui retourne vivre avec sa compagne, Geneviève…
Présence de la région Grand Est dans le film : scènes à Troyes (Aube), ancienne gare.
Ce tunnel ferroviaire, aujourd’hui désaffecté, a été érigé en 1885 à un kilomètre de la gare de Jeugny, en partie sur la commune de Fays-la-Chapelle. Il est l’unique tunnel ferroviaire de l’Aube. Il a pour particularité d’avoir fait l’objet d’une scène de tournage avec Alain Delon et Nathalie Baye pour le film « Notre Histoire » de Bertrand Blier en 1984. La voie ferrée n’est plus en service depuis 1996. Le tunnel a une longueur d’environ 200 mètres. La gare de Jeugny est maintenant transformée en habitation. (sources : Les lieux insolites de l’Aube). Ici, vous pouvez voir une exploration vidéo du tunnel.
Des diamants sont chargés dans un fourgon spécial à destination du Bourget. Ce fourgon, escorté par des motards et une voiture de police, tombe dans une embuscade montée par le truand Quinquin. Celui-ci rafle les diamants et liquide quelques-uns de ses complices au moment du partage. Le commissaire divisionnaire Joss, qui est à six mois de la retraite, se trouve avec cette affaire sur les bras. L’inspecteur du convoi était son ami d’enfance et son camarade de métier. Il est assassiné et le crime est mal maquillé en suicide. Joss, furieux, veut venger Gouvion et en finir avec les truands. Il est sur que Quinquin a organisé le vol des diamants mais manque de preuves. L’enquete de Joss fait apparaitre que Gouvion s’était compromis avec des truands à cause d’une fille, Nathalie. Celle-ci est la sœur d’un des bandits qui ont attaqué le fourgon et que Quinquin a abattus. Joss conduit Nathalie à l’institut médico-légal, devant le corps de son frère. Il lui promet que si elle l’aide à venger Gouvion, il fera punir l’assassin. Nathalie lui dit ce qu’elle sait. Grace aux relations qu’il entretient avec le milieu, Joss met une bande sur une affaire qu’il a préparée lui-même et, avec l’aide de Nathalie, fait prévenir la bande de Quinquin. La première bande attaque un train postal et va cacher le butin dans une sucrerie en ruine, en Champagne. Quinquin et ses hommes sont là. Joss aussi, avec la police. Les truands s’entre-tuent et Joss arrete Quinquin.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Chaumont (Haute-Marne) : le viaduc
scène tournée à Troyes (Aube) : la gare
Lors de la scène tournée à la gare de Troyes, Raoul Saint-Yves avait pour rôle le chef de cet arrêt ferroviaire. Nous voyons dans cet extrait : la façade de la gare puis le panneau Troyes sur un poste d’aiguillage. Ensuite un second panneau Troyes sur un quai dans la gare et d’autres vues de la gare. Enfin, sur la carte routière, la mention de la ville de Troyes est encadrée.