Installé depuis 15 ans au Sénégal, Adrien mène une vie paisible au côté de sa compagne Aminata. Lorsqu’ il est renvoyé en France pour un problème de visa, il débarque chez Sékou, un cousin éloigné de sa femme, qui travaille comme commercial à Paris.
Contraint par sa patronne d’aller en régions à la rencontre de clients, Sékou n’a d’autre choix que d’embarquer ce drôle de cousin dans un tour de France qui leur réserve bien des surprises.
Présence de la région Grand Est dans le film :
Scènes tournées à Troyes (Aube)
Tournée en partie à Troyes, cette comédie de Ludovic Bernard produite par Prélude avec au casting Ahmed Sylla et Hakim Jemili, a bénéficié de l’accompagnement de Troyes Champagne Métropole, collectivité partenaire du réseau Plat.
Le tournage à Troyes s’est effectué sur deux jours dans trois décors différents. Le film est un long métrage nécessitant la présence d’une soixantaine de techniciens. Près de 100 figurants ont également été castés pour apparaître dans les scènes jouées dans l’Aube.
Casting : François Civil, Eva Green, Romain Duris, Vincent Cassel
Réalisateur : Martin Bourboulon
Scénaristes : Alexandre de la Patellière, Matthieu Delaporte
Production : Chapter2, Pathé Films
Distribution : Pathé
Synopsis :
Du Louvre au palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle… dans un royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France.
Présence de la région Grand Est dans le film :
centre historique de Troyes (Aube) : le quartier du Vauluisant
Chaource (Aube)
la Maison de l’Outil et de la pensée ouvrière : une des salles servira au décor de la chambre de D’Artagnan
Produit par Chapter 2, le tournage de cette adaptation de l’œuvre de Dumas est venu jusqu’en Grand Est pendant 10 jours en mars 2022, accueilli par Troyes Champagne Métropole dans le magnifique centre historique de Troyes notamment, avant de se rendre à Chaource.
Le réalisateur Martin Bourboulon a réuni un casting prestigieux avec dans les rôles des mousquetaires François Civil, Vincent Cassel, Pio Marmaï et Romain Duris, mais encore Eva Green en Milady, Vicky Krieps en Anne d’Autriche ou Louis Garrel en Louis XIII.
► Sur les 8 jours de tournage à Troyes, près de 200 figurants locaux ont pu travailler sur le projet. Outre les rues du centre historique de Troyes, La Maison de l’Outil et de la pensée ouvrière a également servi de décor.
► En amont et pendant le tournage, la production a pu s’appuyer sur les services techniques de Troyes Champagne Métropole, accompagnés par le Bureau des images. En parallèle du tournage, des actions pédagogiques ont pu être menées avec des collégiens et écoliers de la ville.
Après plusieurs mois consacrés au repérage de décors naturels pour ce diptyque, l’équipe du film a sélectionné le centre historique de Troyes pour y tourner plusieurs scènes de sa superproduction entre janvier et avril 2022. L’équipe du film est intéressée notamment par le quartier du Vauluisant et ses rues pavées. Des scènes seront également tournées à la Maison de l’Outil et de la pensée ouvrière, dont une des salles servira au décor de la chambre de D’Artagnan. wikipedia / L’Est éclair
Ce diptyque se veut une adaptation complète du roman d’Alexandre Dumas. Dès l’annonce du projet, le tournage des deux films est prévu pour se dérouler simultanément, pour un total de 27 semaines de production et un budget de plus de 60 millions d’euros . Cette méthode impose la constitution de deux équipes de montage travaillant en parallèle, chacune s’occupant d’un film.
« Avec Pathé, nous avons réussi à réunir les moyens artistiques, techniques et budgétaires pour réaliser cette formidable ambition de cinéma » déclare l’heureux producteur Dimitri Rassam. « Ce film ambitieux qui renoue avec le cinéma populaire à grand spectacle compte bien faire revenir les spectateurs en salle. Le secteur du cinéma qui a souffert de la crise devrait s’en sortir avec panache ! »
Ces films sont pensés comme une « réponse aux franchises américaines » à même de « créer l’évènement » selon le producteur Dimitri Rassam. Pour donner une idée du ton de l’adaptation, il évoque un mélange entre le Cyrano de Bergerac (1990) de Jean-Paul Rappeneau et la saga Indiana Jones. Il précise également que lui et Martin Bourboulon ont revu plusieurs autres films avant le tournage pour inspiration, dont Les Duellistes (1977) de Ridley Scott et La Reine Margot (1994) de Patrice Chéreau. Martin Bourboulon situe quant à lui le ton des films entre le « thriller » et le « western royal », le tout porté par une « narration immersive » soutenue par des « plans séquences et des cascades réalisées par les comédiens ». (source wikipédia)
Le premier film, intitulé « Les Trois mousquetaires – D’Artagnan », début 2023. Il sera suivi de la deuxième partie : « Les Trois Mousquetaires : Milady ».
PRIX ET DISTINCTIONS I Césars 2024
Le cinéma à l’honneur lors de la 49e édition des Césars !
Vendredi dernier, Stéphane Taillasson a été récompensé dans la catégorie « Meilleurs décors » pour son travail sur « Les Trois Mousquetaires – D’Artagnan / Milady » tourné à Troyes et Chaource, avec l’accompagnement du Bureau des images Grand Est.
Les frères Lumière filment, en 1899, cette scène de fin de marché à Reims. On y reconnaît les maisons médiévales à colombages ainsi que la “criée” métallique, qui disparaîtra dans les années 1930. Des passants et des marchands investissent les lieux, témoins d’une activité urbaine et commerciale intense. Ce film s’intitule Reims : le marché. Vue N°1187
Les frères Lumière ou un de leurs opérateurs ont cadré la fontaine D’Argence, œuvre produite par Mathurin Moreau dans le cadre de sa collaboration avec la fonderie d’Art du Val d’Osne (Haute-Marne). La ville de Troyes doit cette fontaine à un leg de l’ancien Maire de la ville, Désiré Argence. Ils choisissent de filmer cette sculpture en fonte, inaugurée deux ans auparavant et devenue le symbole de la ville de Troyes. A l’époque au cœur d’une rue commerçante, les passants s’animent autour de la fontaine. Ce film s’intitule Troyes : la fontaine Dorgence. Vue N°1185
Une autre vue de Troyes a également été réalisée par les frères Lumière. Il s’agit de l’hôtel de ville (aujourd’hui place Alexandre Israël). Vue N°1184
Actuellement, la sculpture est visible place Jean Moulin au milieu du carrefour. Elle est composée d’une vasque principale en octogone de 10 mètres de diamètre divisée en huit triangles. Au-dessus se trouvent des enfants abrités par un vase avec des jets d’eau. Le tout est surmonté d’une lampe électrique. En dessous de la vasque, sont disposés quatre grands personnages au milieu de cordes et de coquillages. Dans le bassin, on peut admirer quatre cygnes et quatre sirènes rejetant de l’eau.
Casting : Isabelle Carré, Bernard Campan, Mounir Amamra
Réalisateur : Ivan Calbérac
Scénaristes : Ivan Calbérac
Production : France 2 Cinéma, Studio Canal
Distribution : Studio Canal
Synopsis :
Divorcé du genre bourru, et célibataire depuis trop longtemps, Jacques tient seul une petite cave à vins. Hortense, engagée dans l’associatif, tout proche de finir vieille fille, débarque un jour dans sa boutique et décide de s’inscrire à un atelier dégustation. Mais pour que deux âmes perdues se reconnaissent, il faut parfois un petit miracle. Ce miracle s’appellera Steve, un jeune en liberté conditionnelle, qui, contre toute attente, va les rapprocher. Et quand trois personnes issues d’univers si différents se rencontrent, c’est parfois un grand bonheur… Ou un chaos total. Chacun à leur manière, ils vont sérieusement déguster !
Présence de la région Grand Est :
scènes tournées au Cellier Saint-Pierre, à Troyes (Aubes)
Le tournage du long-métrage «La dégustation» s’est en partie déroulé au Cellier Saint-Pierre, la boutique de vins et spiritueux en face de la cathédrale de Troyes.
Il a fallu deux semaines aux équipes du film pour transformer le lieu en un plateau de tournage. Ce film met en scène Bernard Campan et Isabelle Carré dans les rôles principaux.
Ce film est une adaptation de la pièce de théâtre d’Ivan Calberac.
Casting : Pierre Tchernia, Michel Serrault, Claude Brasseur
Réalisateur : Pierre Tchernia
Scénaristes : Pierre Tchernia, René Goscinny
Production : Dargaud Films, United Artists
Distribution : Les Productions Artistes Associés
Synopsis :
Nous sommes en 1930. M. Martinet, paisible célibataire de 59 ans, n’a plus beaucoup d’années à vivre, si l’on en croit son médecin, Léon Galipeau. Celui-ci voit une excellente occasion de faire profiter son frère Emile d’un viager intéressant. Martinet possède en effet une maison dans un petit village tranquille, St. Tropez. Les Galipeau acceptent d’indexer le viager sur l’aluminium, tant ils sont persuadés du décès prochain de Martinet… Mais celui-ci tient bon et supporte même allègrement les aléas de la guerre. La famille Galipeau cherche alors par tous les moyens à activer son trépas; elle le dénonce à plusieurs reprises, mais les fluctuations politiques jouent en faveur du vieil homme, qui est décoré. En 1949, Martinet résiste aux excès de table que ses hôtes parisiens ont agencés pour lui, mais Marguerite Galipeau en meurt. Emile succombe au cours de la promenade en pédalo qu’il avait diaboliquement organisée. Le cours de l’aluminium monte toujours… Léon et sa belle-soeur décident d’en finir, car le viager s’avère terriblement coûteux, et d’employer les grands moyens: ils cirent l’escalier, scient les balcons; ils seront les victimes de leur ingéniosité. Noël, fieffé voyou héritier des Galipeau, ne viendra pas à bout du coriace centenaire, qui contemplera, ému, le feu d’artifice provoqué involontairement par le dernier de ses « bienfaiteurs ».
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Troyes : la gare
Dans le film Le Viager sorti en 1972 de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Michel Galabru, plusieurs scènes sont tournées à la gare de Troyes.
Casting : Jean Rochefort, Camille de Casabianca, Arlette Bonnard
Réalisateur : Alain Cavalier
Scénaristes : Camille de Casabianca, Alain Cavalier
Production : Les Productions de la Guéville
Distribution : Playtime
Synopsis :
Pierre (Jean Rochefort) attend sa mère qui vit seule en province et vient le voir de temps en temps. Aujourd’hui elle n’est pas arrivée à l’heure prévue. Inquiet, il finit par prendre sa voiture et se rend à Troyes où elle habite. La maison est vide, rangée et fermée. Pierre rentre à Paris et va voir sa fille, Amélie (Camille de Casabianca). Il la trouve au lit, malade. Étudiante brillante, elle supporte mal la société dans laquelle elle se prépare néanmoins à entrer. Amélie va accepter d’accompagner son père dans sa recherche maternelle. Ils feront tous les deux, à pied, le trajet Troyes-Paris en suivant les voies du chemin de fer, car la mère de Pierre devait prendre le train. Et, peu à peu, jour après jour, un dialogue, pas toujours formulé mais sincère, va rapprocher les deux marcheurs, le père et la fille. Celle-ci tentera pourtant de le rompre, de partir en laissant cet homme à sa folle recherche. Mais elle restera avec lui, même quand elle découvrira le corps de sa grand-mère tombée du train. Elle ne le dira à son père qu’au terme du voyage.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Troyes(Aube) : la gare tricasse et un chalet de la gare de Bar-sur-Aube.
Au début des années 80, Jean Rochefort était venu tourner un film dans le département : « Un étrange voyage » (sorti en 1981). Derrière la caméra, Alain Cavalier. Pour ce film, Jean Rochefort était à l’affiche avec Camille de Casabianca. L’histoire de ce drame : la disparition d’une femme lors d’un trajet, en train, entre Troyes et Paris. La gare tricasse mais aussi le « chalet » de la gare de Bar-sur-Aube (désormais détruit pour laisser la place aux services de Pôle Emploi) avaient notamment été des lieux remarqués de tournage. Dans le film, Jean Rochefort (le père) et Camille de Casabianca (la fille) parcourent, à pied, l’itinéraire du train.
Dans Télérama, le réalisateur, Alain Cavalier explique qu’il lui fallait, pour son film : « une ligne ferroviaire sans poteaux électriques pour ne pas « polluer » les images et la seule disponible était Paris-Bâle (c’est encore le cas aujourd’hui). C’était dangereux : les trains ne s’arrêtaient pas de circuler pour autant, et des agents SNCF nous prévenaient de leur arrivée avec d’énormes cornes ».
Pour voir l’extrait du film tourné dans l’Aube, c’est par ici !
Si le long-métrage n’a pas marqué la filmographie de l’acteur, il n’en reste pas moins un souvenir pour les chanceux qui avaient eu la chance de le croiser lors des jours de tournages, il y 37 ans… C’est le cas de Gérard Arcelin, un Baralbin d’origine qui se rappelle « avoir discuter avec lui sur l’un des bancs de la gare de Bar-sur-Aube. Il avait avec lui, ce jour-là, un gros chien blanc et une voiture coccinelle blanche ».
Casting : France Lomay, Catherine Taillefer, Agnès Lemercier, Jean-Claude Roussel
Réalisateur : Claude Patin
Scénaristes : Claude Patin
Production : Films du Tricasse
Distribution : Inter Ecran
Synopsis :
La jeune Charlotte vient passer des vacances chez sa tante Amélie à la campagne. Mais la tante est absente et les hôtes sont le couple pervers Hélène et Olivier. Charlotte fait la connaissance d’un jeune garçon. Christian, pur, doux, « pudique et réservé », mais tous les soirs, les corrompus s’acharnent contre la pudeur de la jeune oie blanche, et sont bientôt rejoints par Marina et Frédéric, couple libéré avec lesquels on organise une partie de colin-maillard. Les cartes de la séduction sont rebattues, mais Charlotte réussira à fuir avec Christian cette maison dépravée.
Présence de la région Grand Est dans le film : Coussegrey accueille le tournage de ce film érotique avec inserts pornographiques.
Casting : Michèle Bertrand, Mylène Demongeot, Christian Baltauss
Réalisateur : Claude Patin
Scénaristes : Claude Patin
Production : Films du Tricasse
Synopsis :
Cela fait trois mois, trois jours ou trois ans que Valérie (Michèle Bertrand) est ainsi, le visage livide, inexpressif, encadré de cheveux courts, les yeux vides fixés sur le carré de nuages de la fenêtre désespérément fermée. Hier elle avait 25 ans, préparait une thèse de psychologie, se passionnait pour la moto. Personne ne la comprenait, mais personne non plus ne cherchait à la comprendre. Pas même ses parents, pourtant « dans le vent ». Mais leur fille, entre son refus des hommes et ses courses folles à moto, les déroutait. Elle n’acceptait que Gerald, un ami d’enfance. Et puis un jour elle le surprit en compagnie de sa mère. La crise de Valérie fut encore plus forte que d’habitude et on la retrouva, au petit matin, inanimée à coté de sa moto. Soignée par Gérarld elle accepta une promenade avec lui. Un Gérald sans méfiance qui vit venir trop tard la moto de Valérie lancée sur lui. Un meurtre qui rendit le visage de la jeune femme enfin calme, serein, qui ne cesse maintenant d’être tourné vers le carré de nuages de la fenêtre, désespérément fermée.
Présence de la région Grand Est dans le film : toutes les scènes se situent à Coussegrey (Aube).
Le film a été entièrement tourné à Coussegrey entre le 28 juin au 29 juillet 1976. Le réalisateur, Claude Pantin, est originaire de la région.
Casting : François-Xavier Demaison, Nicolas Duvauchelle, Pierre Niney
Réalisateur : Hugo Gélin
Scénaristes : Hugo Gélin, Romain Protat, Hervé Mimran
Production : Zazi Films
Distribution : Stone Angels
Synopsis :
Depuis que Charlie n’est plus là, la vie de Boris, Élie et Maxime a
volé en éclats. Ces trois hommes que tout sépare avaient pour Charlie un amour singulier. Elle était leur sœur, la femme de leur vie ou leur pote, c’était selon. Sauf que Charlie est morte et que ça, ni Boris, homme d’affaires accompli, ni Élie, scénariste noctambule et ni Maxime, 20 ans toujours dans les jupes de maman, ne savent comment y faire face. Mais parce qu’elle le leur avait demandé, ils décident sur un coup de tête de faire ce voyage ensemble, direction la Corse et cette maison que Charlie aimait tant. Seulement voilà, 900 kilomètres coincés dans une voiture quand on a pour seul point commun un attachement pour la même femme, c’est long… Boris, Élie et Maxime, trois hommes, trois générations, zéro affinité sur le papier, mais à l’arrivée, la certitude que Charlie a changé leur vie pour toujours.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Dolancourt (Aube) : Parc Nigloland, rue de la Vallée du Landion
Dans une scène au milieu du film, Boris (François-Xavier DEMAISON), Elie (Nicolas DUVAUCHELLE) et Maxime (Pierre NINEY) arrivent dans un parc d’attraction appelé « Fifouland » dans le film.