Casting : Vincent Perez, Géraldine Pailhas, Matthieu Rozé
Réalisateur : Claude Pinoteau
Scénaristes : Claude Pinoteau, Danièle Thompson
Production : Gaumont, Productions Marcel Dassault
Distribution : Gaumont
Synopsis :
La, France au cours des neuf derniers mois de la Seconde Guerre Mondiale (août 44 à mai 45). La libération de Paris, les combats en Alsace sont, entre autres, les cadres spectaculaires de l’histoire d’un groupe de jeunes gens, projetés dans le tumulte des passions. L’infirmière Christiane Mercier et le F.F.I. Michel Fournier se rencontrent et s’aiment pendant les combats de la Libération à Paris. Christiane attend un enfant qui naîtra en mai 1945 mais cet enfant ne connaîtra pas son père qui s’engage dans l’armée, il meurt début 1945. Violence des combats mais surtout violence des sentiments quand l’adolescence découvre l’amour et la guerre, dans un même et total engagement.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Colmar (Haut-Rhin) : Ancienne caserne Rapp
Sur les lieux du tournage Claude PINOTEAU est omni présent Il porte des vêtements vert armée (crédits : http://www.hemaridron.com)Photo du tournage (crédits : http://www.hemaridron.com).un village Alsacien a été totalement reconstitué dans le Camp du VALDHAON .Sur la façade du bâtiment à colombages on distingue les lés de tapisserie recouvrant les planches et imitant le crépi (crédits : http://www.hemaridron.com).
Casting : Jacques Le Carpentier, Jean-Marie Meshaka, Maryse Grob
Réalisateur : Paul Vecchiali
Scénaristes : Paul Vecchiali, Patrick Raynal
Production : JLA - Jacques Le Glou Audiovisuel
Distribution : Ciné Classic
Synopsis :
L’histoire du film s’articule autour de l’arrivée d’une famille africaine dans la cité « Les Coteaux », banlieue de Mulhouse en Alsace. Un couple de retraités vit là ; ils n’ont pas les moyens d’aller vivre ailleurs et supportent mal d’autres formes de civilisation. La femme est malade et ne supporte pas le bruit. Témoin d’un vol par de jeunes beurs, le retraité croit de son devoir de prévenir la police ; il est désavoué par la famille africaine qui refuse d’admettre le vol. L’attitude fière et correcte de la famille africaine force l’admiration des habitants de la cité et plus particulièrement de la famille beur. Tout cela va accélérer l’intégration de la famille africaine au sein du quartier et provoquer la colère grandissante de l’inspecteur…
« Zone franche, qui se lira aussi Zone France sur l’affiche, est le titre du film
Présence de la région Grand Est dans le film :
le film se déroule à Mulhouse (Haut-Rhin) : Quartier des coteaux
« Zone franche, qui se lira aussi Zone France sur l’affiche, est le titre du film dont Paul Vecchiali a commencé le tournage le 17 mai, au pied d’une tour de dix-huit étages du quartier des Coteaux, à Mulhouse (Haut-Rhin). Ecrit avec et pour les jeunes de seize à vingt-cinq ans qui en sont également les interprètes, Zone franche est à l’origine d’un des vingt-neuf projets culturels de quartier suscités par le ministère de la culture. L’ex-ZUP des Coteaux, remuante citadelle de douze mille habitants de dix nationalités, fut édifiée dans les années 60 pour les ouvriers de Peugeot face aux champs, à cinq kilomètres du centre-ville. La population en est stable, jeune (35 % ont moins de dix-neuf ans), étrangère à 26 %. Le Nouvel Observateur en avait récemment publié une photo avec la légende : « L’endroit où même les flics n’osent pas aller.
L’idée d’un Roméo et Juliette à la West Side Story est sèchement renvoyée aux auteurs. Tout juste en restera-t-il une histoire d’amour entre une black et un beur. Les jeunes ne veulent pas d’effet miroir, mais leur inscription dans une fiction. Ce sera un polar, alimenté par leur désir d’être en représentation. Une partie de gendarmes et voleurs qui, finalement, fera retour dans l’histoire réelle, celle qu’ils ont vécue il y a six ans avec la mort de l’un des leurs, tué par un voisin excédé un soir de ramadan. « C’est la tragédie ordinaire, commente Paul Vecchiali : on finit là où La Haine commence» (Source : https://www.lemonde.fr/archives/article/1996/05/23/paul-vecchiali-tourne-zone-franche-a-mulhouse-avec-les-jeunes-de-l-ex-zup-des-coteaux_3728715_1819218.html).
Casting : Bénédicte Lecroard, Emmanuel Jacomi, François Leroux
Réalisateur : Gary Trousdale, Kirk Wise
Scénaristes : Roger Allers
Production : Walt Disney Pictures
Distribution : Walt Disney Studio
Synopsis :
Belle est une jeune fille sensible et imaginative, qui passe ses journées plongée dans la lecture et qui repousse obstinément les avances de Gaston, un bellâtre musclé et vaniteux. Seul Maurice, son père, un inventeur farfelu, compte dans sa vie. Un jour que ce dernier se perd dans la forêt, il doit se réfugier dans un château pour échapper à une meute de loups. Irrité par son intrusion, le maître des lieux, une Bête gigantesque et terrifiante, le jette dans un cachot. Pour sauver son père, Belle accepte d’être retenue prisonnière à sa place…
Belle, le célèvre personnage animé des studios Disney, serait “alsacienne” ! En tout cas, il ne fait nulle doute que les dessinateurs des multiples aventures de la princesse inspirée de “La Belle et la Bête” ont imaginé son village après avoir visité Riquewihr, Ribeauvillé ou Colmar. De nombreux dessins, tirés du film en attestent…
Le village de La Belle et la Bête
La ressemblance entre le «pauvre village provincial» dans lequel Belle se plaît à rêvasser et certains villages typiques alsaciens tels que Riquewhir est évidente. Les façades des maisons sont colorées, les rues sont pavées et les enseignes en fer forgé. Marine Maufras, Le Figaro
La jeune Sophie, âgée de 18 ans, travaille sans relâche dans la boutique de chapelier que tenait son père avant de mourir. Lors de l’une de ses rares sorties en ville, elle fait la connaissance de Hauru le Magicien. Celui-ci est extrêmement séduisant, mais n’a pas beaucoup de caractère… Se méprenant sur leur relation, une sorcière jette un épouvantable sort sur Sophie et la transforme en vieille femme de 90 ans. Accablée, Sophie s’enfuit et erre dans les terres désolées. Par hasard, elle pénètre dans le Château Ambulant de Hauru et, cachant sa véritable identité, s’y fait engager comme femme de ménage. Cette » vieille dame » aussi mystérieuse que dynamique va bientôt redonner une nouvelle vie à l’ancienne demeure. Plus énergique que jamais, Sophie accomplit des miracles. Quel fabuleux destin l’attend ? Et si son histoire avec Hauru n’en était qu’à son véritable commencement ?
« Certains ont une image magique de la région, car ils savent que le réalisateur Miyazaki s’est inspiré de Colmar pour son film d’animation Le Château ambulant. » www.20minutes.fr
Hayao Miyazaki tire son inspiration dans plusieurs de ses films de l’ambiance des villages alsaciens, en effet, il s’est rendu plusieurs fois à Colmar et Riquewihr. Il a longuement étudié leur architecture traditionnelle ainsi que leur ambiance rurale.
Image du film
Isao Takahata, le regretté cofondateur du studio Ghibli, a toujours eu une affection particulière pour la France. On retrouve cet amour du pays dans certains films qui mêlent plusieurs influences européennes, notamment dans Le château ambulant d’Hayao Miyazaki. C’est l’Alsace et plus particulièrement Colmar qui servirent de décor à la ville de Sophie, la jeune chapelière transformée en grand-mère par un sortilège. Qui sait quelle demeure colorée de Colmar abrite un Calcifer réchauffant l’âtre?
Casting : Minami Takayama, Rei Sakuma, Kappei Yamaguchi
Réalisateur : Hayao Miyazaki
Scénaristes : Hayao Miyazaki
Production : Tokuma Shoten
Distribution : Toei Compagny
Synopsis :
A l’âge de treize ans, une future sorcière doit partir faire son apprentissage dans une ville inconnue durant un an. Une expérience que va vivre la jeune et espiègle Kiki aux côtés de Osono, une gentille boulangère qui lui propose un emploi de livreuse.
Hayao Miyazaki tire son inspiration dans plusieurs de ses films de l’ambiance des villages alsaciens, en effet, il s’est rendu plusieurs fois à Colmar et Riquewihr. Il a longuement étudié leur architecture traditionnelle ainsi que leur ambiance rurale.
Image du film – http://ilovealsace.canalblog.comImage du film – http://ilovealsace.canalblog.comImage du film – http://ilovealsace.canalblog.com
Casting : Julien Guiomar, Michel Galabru, Jean Carmet
Réalisateur : Guy Lefranc
Scénaristes : Maurice Chevit
Production : Filmel, Filmédis, Les Activités Cinégraphiques
Distribution : Compagnie Commerciale Française Cinématographique (CCFC)
Synopsis :
Julien Brûlebois, brave paysan auvergnat, apprend qu’il est convoqué à Strasbourg pour toucher un héritage. Émerveillé par le fonctionnement de l’autobus qui le conduit de la gare au domicile de son notaire, il décide de l’acquérir. S’ensuit une poursuite ahurissante entre les agents de la régie des transports strasbourgeois, les capitalistes, le naïf paysan et sa lucide et sa jolie fiancée.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes à Riquewhir (Haut-Rhin)
scènes à Itterswiller (Bas-Rhin)
scènes à Strasbourg (Bas-Rhin) : plusieurs rues du centre-ville, la Cathédrale, le poste de douane près du pont de l’Europe, etc.
Le film fut tourné entièrement à Strasbourg, en Alsace. De nombreux plans montrent des sites touristiques de la ville. Le film évoque l’entraide des réfugiés de l’exode, en 1940, ou de nombreux citoyens du nord-est de la France se réfugièrent dans le sud, pour échapper à l’avancée de l’armée Allemande. Dans le film, Julien Brulebois hérite d’un riche industriel Alsacien, réfugié chez sa famille en 1940, et retrouve Lisbeth, une jeune réfugiée qui avait 6 ans en 1940, et dont la famille fut aidée aussi par la famille de Julien Brulebois. Des scènes sont aussi tournées à Kehl, ville Allemande en face de Strasbourg, en traversant le Rhin. (Wikipédia)
Capture du film.Capture du film.
« Publicité ambulante pour la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS), L’Auvergnat et l’autobus est l’un des nanars comme l’époque en produisait à la pelle. Intérêts majeurs de celui-ci : il permet une plongée dans le Strasbourg des années 1960 et restera comme le dernier film de Fernand Raynaud. »
Sources : Dernières Nouvelles d’Alsace – édition de Strasbourg – Pascal Coquis – 04 août 2019
La Cathédrale de Strasbourg dans le film. www.kuriocity.frL’Église Saint-Paul dans le film. www.kuriocity.frLa Petite France de Strasbourg dans le film. www.kuriocity.frPlace de la République de Strasbourg. www.kuriocity.frLa maison des Tanneurs. www.kuriocity.fr
Casting : Richard Bohringer, Catherine Deneuve, Tom Novembre
Réalisateur : Jean-Pierre Mocky
Scénaristes : Jean-Pierre Mocky
Production : Koala Films, Alliance Film Communication (AFC)
Distribution : Bac Films Distribution
Synopsis :
Un autocar chargé de vacanciers plonge dans les eaux glacées d’un lac pyrénéen. Bilan : 50 morts… Une exécution massive, commandée « d’en haut » au nom de la sécurité nationale. Un jeune routard, Victorien, a vu les touristes gazés, avant leur noyade, et a ramassé sur leurs cadavres bijoux, argent et papiers d’identité. Il tente d’en démasquer les instigateurs mais cède à la tentation du chantage. Exit l’animateur naif, promptement refroidi ! C’est alors qu’entre en scène la tante de Victorien : Amanda Waber. La quarantaine fringante, l’allure décidée, elle voue, depuis toujours, une tendre affection à son fou de neveu. Décidée à le venger, elle se lance, tête baissée, dans une dangereuse enquête…
Présence de la région Grand Est dans le film !:
scènes tournées à Orschwiller (Bas-Rhin) : Château du Haut-Koenigsbourg
scènes tournées à Sélestat (Bas-Rhin)
scènes tournées à Orbey (Haut-Rhin)
Dans le film, nous découvrons le lieu dans la séquence qui met en scène Amanda (interprété par Catherine Deneuve) et le vendeur de souvenirs (joué par Patrick Fontana). Le kiosque se trouve au pied du château.
Durant le tournage d’Agent Trouble, en 1987. Photo Archives DNA
Casting : Orson Welles, Marlène Jobert, Michel Piccoli
Réalisateur : Claude Chabrol
Scénaristes : Paul Gégauff, Eugène Archer, Paul Gardner
Production : Parafrance
Synopsis :
Fils adoptif de Théo Van Horn, Charles appelle à la rescousse Paul, un professeur qu’il admire beaucoup : depuis quelques temps, il est victime de crises d’amnésie desquelles il émerge chaque fois en un lieu inconnu, après un temps indéterminé. Pour le surveiller, Paul accepte de séjourner chez les Van Horn…
« Deux mois sur mon film seront presque des vacances… Ça suffira pour vous requinquer. Ce sera l’été en Alsace, une région magnifique ! Vous serez traitée comme une princesse. On va vous louer une belle maison » dit Claude Chabrol à Marlène Jobert pour la convaincre d’accepter le rôle dans La décade prodigieuse.
Source : Les baisers du soleil / Marlène Jobert paru chez Plon en 2014
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Strasbourg (Bas-Rhin)
scènes tournées à Boersch (Bas-Rhin) : Château « La Leonardsau »
scènes tournées à Obernai (Bas-Rhin) et dans les environs : Grendelbruch, Barr, Dambach-la-Ville, Molsheim, Sélestat (Bas-Rhin)
scènes tournées à Colmar (Haut-Rhin)
scènes tournées au lac de la Maix (Vosges)
En 1971, Claude Chabrol, connu pour rechercher des ambiances provinciales, choisit l’Alsace pour le tournage de son film La décade prodigieuse, interprété notamment par Orson Welles. C’est dans le Bas-Rhin que le réalisateur trouve la demeure des années 20 nécessaire à son film : il s’agit de La Léonardsau, à Obernai, face au Mont Sainte-Odile ; le personnage joué par Orson Welles y règne en tyran.
Les extérieurs sont tournés à Obernai et ses environs, Boersch, Grendelbruch, Barr, Dambach-la-Ville, Molsheim et Sélestat, et au lac de La Maix, dans le département voisin des Vosges.
« Ma sœur était mariée au propriétaire de l’Hôtel Le Beausite à Ottrot, qui avait une étoile. Alors, ils m’ont appelée. C’était l’année où Claude Chabrol y tournait son film, La Décade prodigieuse. Claude Chabrol passait pour choisir les lieux de ses tournages sur la foi de son guide Michelin. Sur ce tournage mémorable, l’un de ses acteurs, le mythique Orson Welles, s’était distingué par son appétit d’ogre et sa prédilection pour la côte de bœuf tyrolienne… » se souvient Annie Voegel Leclerc, propriétaire du Pont des Vosges – http://alsace.nouvellesgastronomiques.com
Sur le tournage du film. Crédits ; Dernières Nouvelles d’Alsace.
Casting : Vincent Lindon, Cécile de France, Eric Berger
Réalisateur : Étienne Chatiliez
Scénaristes : Laurent Chouchan
Production : Telema
Distribution : Fox France
Synopsis :
La vie n’ayant rien prévu pour eux, ils ne lui demandent rien.C’est pourquoi Chrystèle Burrel et Christophe Gérard, malgré leur éducation inexistante et leur absence de valeurs morales, passent de place en place où ils sont employés comme domestiques avec une insouciance et une joie de vivre qui laissent rêveur.Pour eux, la vie est douce. D’autant plus douce qu’avant de se rencontrer, eux qui ne faisaient confiance à personne et ignoraient même qu’on puisse tenir à quelqu’un, se sont trouvés et n’ont pas envie de se perdre. Pourtant, il n’est pas bien malin et pas toujours fiable, son Totophe. Et lui, faut-il qu’il l’aime sa Chrystèle pour accepter qu’elle le trompe. Oui. Même chez les bêtes de cet acabit, l’amour existe. Et quand l’amour est là, la confiance règne…
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Strasbourg (Bas-Rhin) : café Brant
scènes tournées à Mulhouse (Haut-Rhin) : gare centrale, rue de la Sinne (scène du vol d’argent au distributeur automatique de billets), place de la Réunion (dépose de la patronne chez le coiffeur avant de trouver le sac à main dans la voiture, avant le vol au D.A.B)
scènes tournées à Colmar (Haut-Rhin) : gare (introduction du film)
scènes tournées à Erstein (Bas-Rhin) : gare (les retrouvailles du couple)
scènes tournées à Wittenheim (Haut-Rhin) : dans la cité minière (les retrouvailles avec la famille d’accueil de Chrystèle)
scènes tournée à Rouffach (Haut-Rhin) : scène du jeu de pétanque sur la place de la ville
Une des scènes du film se passe dans un salon de coiffure Dessange, passage de l’Hôtel-de-Ville à Mulhouse. « Le tournage a duré une journée, c’était un lundi, jour férié. Vincent Lindon était très agréable, il a trouvé que mes collaboratrices étaient très jolies », se souvient la patronne Josiane Weibel. Celle-ci raconte qu’elle et son équipe ont « servi de figurantes. On nous a demandé de recevoir Mme Chevallier (Martine Chevallier, comédienne qui interprète une bourgeoise du Rebberg, ndlr) comme cliente. On lui a servi sa boisson, on a suivi les protocoles Dessange et après Vincent Lindon entrait ».
Propos recueillis par les Dernières Nouvelles d’Alsace.
Le 27 octobre, l’équipe du film entame sa deuxième séquence de tournages en Alsace. La première scène filmée se déroule dans un salon de coiffure, le salon Dessange, passage de l’Hôtel-de-Ville à Mulhouse. Archive L’Alsace/Darek SzusterVincent Lindon et Étienne Chatiliez dans le hall de la gare de Colmar le 1er novembre 2003. Archive L’Alsace Yannick BOHNVincent Lindon, Étienne Chatiliez et Cécile de France passage de l’Hôtel-de-Ville à Mulhouse en novembre 2003. Archive L’Alsace/Darek SzusterTournage dans les rues de Mulhouse le 4 novembre 2003. Archive L’Alsace Darek SzusterL’équipe de « La Confiance règne » occupe la place de la Réunion à Mulhouse. Archive L’Alsace Darek Szuster
Au lendemain de la guerre, un noble loge six orphelins dans ses dépendances. Un nouvel enfant arrive. Rebelle, il part souvent seul en expédition à travers la campagne. Le 10 mai 1981, un homme arrive au village de la Croix Brunière. Trente ans plus tôt, les orphelins avaient mystérieusement disparu.
Présence de la région Grand Est dans le film :
scènes tournées à Reichstett (Bas-Rhin)
scènes tournées à Osthoffen (Bas-Rhin) : le Château