Partir un jour

  • Nationalité : Française
  • Année de production : 2024
  • Casting : Juliette Armanet, Bastien Bouillon, François Rollin
  • Réalisateur : Amélie Bonnin
  • Scénaristes : Amélie Bonnin, Dimitri Lucas
  • Production : Topshot Films
  • Distribution : Pathé

  • Synopsis :

    Dès qu’elle l’a pu, Cécile a quitté le restaurant routier familial pour monter à la capitale, où elle a ouvert son propre restaurant gastronomique. Lorsque sa mère l’appelle pour lui annoncer que son père a eu un accident, elle doit revenir chez elle pour les aider…

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes tournées à Haguenau, Strasbourg, Colmar (Alsace) et Saint-Dizier (Haute-Marne)

Le tournage se déroule en juin 2024.

Avec ce long métrage, Amélie Bonnin s’inspire de son court éponyme, salué du César du court métrage de fiction, en 2023.

La Fille de l’Air

  • Nationalité : française
  • Année de production : 1992
  • Casting : Béatrice Dalle, Thierry Fortineau, Hippolyte Girardot
  • Réalisateur : Maroun Bagdadi
  • Scénaristes : Maroun Bagdadi, Florence Quentin
  • Production : Ciby 2000, TF1 Films Production
  • Distribution : Pathé Films

  • Synopsis :

    Un matin de printemps, une jeune mère de famille aux commandes d’un hélicoptère vient cueillir son gangster de mari sur le toit de la prison de la Santé. L’histoire d’une femme toute simple transformée par amour en héroïne populaire…

Présence dans la région Grand Est :

  • scènes tournées à la médiathèque et l’IUT de la ville d’ Haguenau (Bas-Rhin)

Le lieu principal du film est le bâtiment de la Médiathèque et l’IUT avant qu’il ne soit réhabilité, et qui sert de décor pour la prison. Un choix logique, puisqu’il s’agissait d’une véritable prison pour femmes de 1822 à 1957. En 1960, le bâtiment est transformé en centre pénitentiaire de réadaptation pour les détenus souffrant de troubles psychiatriques jusqu’en 1987.

© La fille de l’air / Studios TF1

© La fille de l’air / Studios TF1

© La fille de l’air / Studios TF1

Image du film.

Image du film.

Image du film.

La Motocyclette

  • Nationalité : française et britannique
  • Année de production : 1968
  • Casting : Alain Delon, Marianne Faithfull, Roger Mutton
  • Réalisateur : Jack Cardiff
  • Scénaristes : Ronald Duncan
  • Production : Société Nouvelle de Cinématographie (SNC), Arès Production
  • Distribution : Société Nouvelle de Cinématographie (SNC)

  • Synopsis :

    Dans un cirque de cauchemar peuplé d’enfants rieurs, Raymond joue du violoncelle, alors que son épouse Rebecca, debout sur un cheval blanc, est fouettée par Daniel, l’amant costumé en Monsieur Loyal. Rebecca se réveille, regarde son mari profondément endormi. Nue, elle quitte le lit et revêt, à même la peau, sa combinaison noire de motocycliste. Au garage, elle caresse amoureusement la machine et part pour un long trajet qui la mènera de Haguenau à Heidelberg. Elle fonce dans les brumes matinales et évoque quelques moments de sa vie de jeune mariée. Raymond, professeur sans autorité et compagnon sans fantaisie, n’est pas le mari qui lui convient, surtout depuis qu’elle a rencontré Daniel, professeur de philosophie adepte de l’union libre et de l’hédonisme cynique. Au cours d’un bref repos dans la forêt, elle parcourt en rêve le chemin qui la mène chez son amant…

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes tournées à Haguenau (Bas-Rhin)

Entré dans la sélection officielle du Festival de Canne 1968, Ce film, interprété notamment par Alain Delon, a été tourné en partie à Haguenau, mais aussi à Lauterbourg et à Heidelberg dans le Bade-Wurtemberg en Allemagne.

À genoux les gars

  • Nationalité : française
  • Année de production : 2018
  • Casting : Souad Arsane, Inas Chanti, Sidi Mejai
  • Réalisateur : Antoine Desrosières
  • Scénaristes : Antoine Desrosières, Anne-Sophie Nanki, Souad Arsane, Inas Chanti, Sidi Mejai, Mehdi Dahmane
  • Production : Les Films de l'autre cougar
  • Distribution : Rezo Films

  • Synopsis :

    En l’absence de sa sœur Rim, que faisait Yasmina dans un parking avec Salim et Majid, leurs petits copains ? Si Rim ne sait rien, c’est parce que Yasmina fait tout pour qu’elle ne l’apprenne pas. Quoi donc ? L’inavouable… le pire… la honte XXL, le tout immortalisé par Salim dans une vidéo potentiellement très volatile.

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes à Strasbourg (Bas-Rhin)
  • scènes à Bischheim (Bas-Rhin)
  • scènes à Hoenheim (Bas-Rhin)
  • scènes à Haguenau (Bas-Rhin) : Nautiland

Hoenheim, Bischheim

L’histoire se déroule majoritairement à Strasbourg et une scène a été tournée au Nautiland d’Haguenau.

Crédits : Les films de l’autre cougar.

Image du film.

Cette comédie aborde plutôt franchement des thématiques très actuelles que sont la sexualité, le féminisme, la politique, la société en général. Le film a été sélectionné 5 fois dans la catégorie « Un certain regard » lors du dernier Festival de Cannes.

L’Albatros

  • Nationalité : France
  • Année de production : 1971
  • Casting : Jean-Pierre Mocky, Marion Game, Muller
  • Réalisateur : Jean-Pierre Mocky
  • Scénaristes : Jean-Pierre Mocky, Claude Veillot, Raphaël Delpard
  • Production : Balzac Film, Belstar Productions, Profilm
  • Distribution : Les Films Corona

  • Synopsis :

    Stef Tassel s’évade de prison. Traqué, il oblige une jeune femme à l’emmener dans sa voiture. Il s’agit de Paula, la fille du Président, qui mène justement sa campagne électorale.

« Pourquoi j’ai choisi Sarreguemines, les paysages lorrains et alsaciens, parce que je trouve qu’ils répondent parfaitement à ma conception du roman noir. Les Américains choisissent New York ou San Francisco, décors naturels pour le genre ; en France, il faut autre chose, des maisons lourdes, grises, une atmosphère brumeuse, des ciels gris, du vent, de la pluie ; et le Nord et l’Est répondent à tous ces critères naturellement ; ce sont des régions très attachantes, mystérieuses. Un roman noir tourné sur la Côte ne fait pas sérieux, ou il faut le talent d’un Hitchcock pour que ça ne tourne pas à la comédie colorée. Le noir, enfin ce qui appartient encore à la série blême, est un style fantastique, parce qu’il contient toujours en filigrane des retrouvailles sociales ou politiques, genre de sujet qu’on n’a jamais osé traiter en France ».

Jean-Pierre Mocky, Républicain Lorrain du 21 août 1971

Présence de la région Grand Est dans le film :

  • scènes dans la ville de Sarreguemines (Moselle)
  • scènes à Haguenau et Wissembourg (Bas-Rhin)
  • mentions écrites : véhicules immatriculés 67 (Bas-Rhin) et 68 (Haut-Rhin)

Pour les besoins du tournage de L’Albatros, la commune de Wissembourg a été en partie déguisée : une droguerie a été transformée en pharmacie sur une place centrale et la « Grange aux Dîmes », centre d’animation pour maraîchers et fanfares régionales, est devenue un commissariat. À Sarreguemines, c’est notamment le Palais de Justice qui a servi de décor au bal de Carnaval.

Si le film est entièrement tourné en Alsace et en Lorraine, il se déroule essentiellement la nuit. Ces scènes nocturnes rendent difficile l’identification de la région à l’image.

Jean-Pierre Mocky sur le tournage de son film L’Albatros à Sarreguemines. Photo Républicain Lorrain /Archives.

Républicain Lorrain du 18 décembre 1970 : « c’est en janvier prochain, et plus exactement à partir du 4 janvier, que Sarreguemines servira de cadre au tournage du film policier « L’Albatros » de Jean-Pierre Mocky. En effet, ce film, qui réunira de grandes vedettes, sera tourné dans la cité des faïences où, d’ores et déjà, tout le monde se passionne avant de faire plus ample connaissance avec les grands acteurs du cinéma français et étranger. Marcel Mossotti, directeur de production des films « Balzac », spécialiste en la matière, chargé des travaux préparatoires de « L’Albatros », à Sarreguemines, a bien voulu nous donner les principales données de cet extraordinaire film policier, dont les séquences principales seront filmées au centre de la cité faïencière.» […] Ce sera un film policier à 100 % (et en couleurs). Son tournage durera environ cinq semaines, dont trois à Sarreguemines. Il s’agit d’une histoire d’amour entre une jeune fille d’un milieu bourgeois (Jane Fonda) et un homme traqué (Jean-Pierre Mocky) par toutes les forces de police en raison d’un meurtre non prémédité. Il sera arrêté… mais réussira à s’évader. Il blessera un policier qu’il conduira dans une pharmacie (du centre-ville de Sarreguemines) pour le faire soigner. Il reprendra la fuite, fréquentera plusieurs cafés… et un bal, où il fera la connaissance de la jeune fille (Jane Fonda), et tous les deux à bord d’une voiture volée, tenteront de franchir la frontière franco-allemande (poste douanier du pont de la Blies à Sarreguemines), mais reviendront en France, où finalement « Steff » sera abattu par les gendarmes. […] les Sarregueminois auront la primeur de le voir en avant-première, c’est-à-dire avant Paris, Strasbourg, Marseille, etc. Il est vrai que les réalisateurs voudront remercier les quelque 1 000 figurants de la cité des faïences et environs, qui prêteront bénévolement leur concours au tournage. »